New York 1930. Florence Foster Jenkins, riche héritière américaine, s’improvise soprano colorature et massacre les plus fameux airs d’opéra autant par la fausseté de sa voix que par ses fantaisies rythmiques.
New York 1930. Florence Foster Jenkins, riche héritière américaine, s’improvise soprano colorature et massacre les plus fameux airs d’opéra autant par la fausseté de sa voix que par ses fantaisies rythmiques.
Des années plus tard, au piano d’un club de jazz en vogue, Cosme McMoon, son accompagnateur, nous fait revivre les souvenirs à la fois hilarants et bouleversants des douze années de leur étonnante collaboration et de cette incroyable ascension vers une célébrité dérisoire qui les mènera ensemble jusqu’au prestigieux Carnegie Hall.
Près de 80 ans après sa disparition, la soprano qui chantait divinement faux reste un personnage culte. Elle a inspiré plusieurs spectacles, films (Marguerite et Florence Foster Jenkins avec Meryl Streep) et ses enregistrements sont régulièrement réédités.
Florence Foster Jenkins naît dans une riche famille de Pennsylvanie. À la mort de son père, en 1909, elle hérite d'une fortune qui lui permet d'entamer tardivement la carrière de cantatrice que ses parents et son ex-mari avaient découragée. Persuadée de posséder un extraordinaire talent de soprano colorature, elle a pourtant un très faible sens du rythme et ne parvient pas à chanter juste. Elle prend pourtant plaisir à organiser dans la salle de bal du Ritz-Carlton à New York d’ahurissants récitals annuels qui font les délices de la haute société et devient une célébrité que l’on s’arrache.
Cependant, Florence Foster Jenkins ne semble pas réaliser que son succès ne provient pas de la beauté de sa voix mais des rires que provoquent ses interprétations approximatives tout comme ses extravagants costumes de scène sortis de son imagination.
En octobre 1944, Florence Foster Jenkins accepte de se produire pour un concert de charité au réputé Carnegie Hall à Manhattan qui affiche complet pour l’occasion. Ce sera sa dernière apparition publique puisqu’elle mourra quelques semaines plus tard des suites d’une crise cardiaque.
Près de soixante-dix ans après sa disparition, la soprano qui chantait divinement faux reste un personnage culte. Elle a inspiré plusieurs spectacles, ses enregistrements sont régulièrement réédités et un documentaire lui a été consacré. Elle aurait aussi servi de modèle à Hergé pour sa célèbre Castafiore dans les aventures de Tintin. En France, la chanteuse Juliette l’évoque avec humour dans la chanson Casseroles & faussets.
« Des cascades de rires ! » Le Point
« A ne pas manquer » Pariscope
« On a retrouvé la Castafiore ! » Le Parisien
« L’irrésistible histoire de la diva devenue « culte » parce qu’elle chantait faux. Agnès Bove et Grégori Bacquet sont aussi touchants et drôles que virtuoses. » Le Figaro
Tout à fait d'accord. Une interprétation juste et raffinée Une belle complicité entre les acteurs touchante et délicate Et surtout une histoire différente et légère tout à fait à même de dynamiser le début de l'année . Enfin quel talent de musicien mr bacquet....
Un spectacle d'une qualité époustouflant... spectacle vu au festival d’Avignon cet été... et très envie de le revoir sur Paris... humour, amour de la musique ... pour finir sur une larme d’émotion .... si il y a une chose a voir c'est ça...!!! bravo au deux artistes
Tout à fait d'accord. Une interprétation juste et raffinée Une belle complicité entre les acteurs touchante et délicate Et surtout une histoire différente et légère tout à fait à même de dynamiser le début de l'année . Enfin quel talent de musicien mr bacquet....
Un spectacle d'une qualité époustouflant... spectacle vu au festival d’Avignon cet été... et très envie de le revoir sur Paris... humour, amour de la musique ... pour finir sur une larme d’émotion .... si il y a une chose a voir c'est ça...!!! bravo au deux artistes
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