Superstrat explore le lien entre les racines ancestrales de la danse et de la musique et le patrimoine de la diaspora afro-américaine.
Incarné par un danseur africain urbain et traditionnel, le solo raconte la mémoire du corps, entre voyage initiatique et parcours migratoire.
Par la danse et par le chant, il nous fait voyager à travers les rythmes, les époques et les gestuelles, nous ramenant au langage ancestral du corps, à sa capacité de réinvention perpétuelle et à ses symboliques universelles.
A-t-on jamais « inventé » une danse, ou une musique ? Pourquoi nous identifions-nous à certaines influences, mais pas à d’autres ?
Dans un monde cosmopolite construit de migrations, volontaires ou forcées, comment les cultures de chacun accompagnent-elles le voyage des peuples et des individus ? Comment nos racines habitent-elles nos corps ?
Dans Superstrat, les mémoires créolisées de peuples déracinés font écho à la réalité contemporaine des phénomènes de migration et aux tensions engendrées par la globalisation culturelle, entre cosmopolitisme et multiculturalisme.
107, rue de Paris 94220 Charenton le Pont