Il est rare, alors qu’elle ne ressemble à personne, que l’on trouve autant de parenté à une artiste. Pour le premier album de Barbara Carlotti, Les lys brisés, on évoque volontiers Léonard Cohen, le Gainsbourg pop, Joni Mitchell, Françoise Hardy, par les attitudes, le ton, l’humeur ou les pratiques sans que l’on puisse la fixer à un genre.
Elle distille avec élégance et malice ses chansons sentimentales et suaves, ses comptines pop teintées d’ironie fine. Songwriting à l’inspiration vagabonde, entre pudeur et abandon lyrique, Barbara Carlotti dévoile au fil de ses chansons le champ contre-champ de l’amour absolu, les belles imprudences et les égratignures du coeur. Une langue, une voix et un regard qui prennent déjà une belle place dans le paysage français.
Barbara Carlotti semble s'être nourrie des égéries françaises des 60's, de ces intrigantes aux beautés parfois diaphanes dont certains resteront à jamais amoureux : Barbara, Anna Karina, Françoise Hardy... Barbara Carlotti chante alors comme plus grand monde aujourd'hui. Sa voix ne recule devant aucune inflexion et arbore un lyrisme au charme suranné. Elle distille avec élégance et malice ses chansons sentimentales et suaves, ses comptines pop teintées d'ironie fine.
Songwriting à l’inspiration vagabonde, entre pudeur et abandon lyrique, Barbara Carlotti dévoile au fil de ses chansons douces-amères le champ contre-champ de l’amour absolu, les belles imprudences et les égratignures du cœur. Cette blonde ombrageuse assume avec élégance et d’une voix sans apprêt, la sobriété classique et les gimmicks rutilants de la pop.
“La belle Carlotti devrait se tailler une place à part.” Philippe Barbot, Télérama
“Un univers sixties pop délicieusement sobre, élégant, mélancolique, jusqu'à une malice décalée.” Dominique Queillé, Libération
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