Les compagnons du groupe Bratsch trouvent leur inspiration du côté de la bouillante tradition tsigane et yiddish d’Europe centrale. Armés de leur guitare, violon, clarinette, accordéon et contrebasse, ils nous entraînent sur un rythme effréné le long des routes de Roumanie, de Hongrie et de Russie, passant de la joie à la mélancolie dans toutes sortes de langues : romanès, français, yiddish, italien…
Il est des gens qui de tout temps ont traversé l’Europe, chantant et jouant de divers instruments, sans jamais revendiquer aucun territoire, sinon la liberté de les traverser tous, empruntant leur vocabulaire musical et constituant un trésor dans lequel d’autres pourront à leur tour puiser. Au fil du temps la musique évolue au gré de l’imaginaire des musiciens. La tradition orale permet en effet ce genre de magie qui consiste à improviser, ornementer et s’approprier la musique. Cette façon de l’aborder convient particulièrement à ceux qui n’ont pas reçu d’héritage culturel et qui, bien que connaissant leurs origines n’ont pas grandi dans la tradition. C’est le cas des musiciens de « Bratsch » dont les parents ou grands-parents ont émigré soit de l’étranger vers la France, soit de la province vers Paris et qui, au fil des années, se sont forgés une musique puisée dans le patrimoine évoqué précédemment.
« Une dégaine de mauvais garçons sortis tout droit d’une icône tsigane, un savoir faire rare, une douce ironie, les cinq de Bratsch ne sont pas des musiciens traditionnels, mais des arpenteurs futuristes des vielles musiques qu’ils réinventent sans cesse. » Libération nov. 2001
la presse
« Nourris d’airs tsiganes et de swing manouche, maniant le violon et la guitare en virtuoses impétueux, les cinq musiciens de Bratsch forment assurément l’un des meilleurs groupes s’attachant à célébrer la grande tradition musicale yiddish et romanès d’Europe Centrale. » Le Figaroscope
« Une dégaine de mauvais garçons sortis tout droit d’une icône tsigane, un savoir faire rare, une douce ironie, les cinq de Bratsch ne sont pas des musiciens traditionnels, mais des arpenteurs futuristes des vielles musiques qu’ils réinventent sans cesse. » Libération nov. 2001
« Sortis tout droit d’une icône tsigane, un savoir-faire rare, une douce ironie, les cinq de Bratsch ne sont pas des musiciens traditionnels mais des arpenteurs futuristes de vieilles musiques qu’ils réinventent sans cesse. » Libération
« Bratsch joue une musique qui se rêve, se désire et se remémore. » Le Figaro
2, place Victor Hugo 94270 Le Kremlin-Bicêtre
Voiture : partir de la porte d'Italie, prendre la RN7 en direction de Villejuif. A la hauteur de la station de métro tourner à droite, avenue Eugène Thomas puis au 1er feu à gauche rue Jean Monnet.