Peut-on perdre son sexe et rester un homme ? Plus rien n'est désormais comme avant pour Bruno Guibert...
Bruno Guibert. 1969-2004. Employé de banque. Mort en faisant son premier jogging dans les jardins du Luxembourg (Delacroix, enfin... sa statue, lui est tombée sur la tête).
Bénéficiant, chose incroyable, d'un sursis de 24 heures, un flacon de parfum en poche pour masquer sa décomposition progressive, Bruno Guibert fait le tour de sa vie - banale, extraordinaire, la sienne ou la vôtre - et se surprend parfois à philosopher avec un bon sens "à la Guibert". Un personnage et un univers attachants - presque vous !
Beaucoup d’autodérision, un soupçon de poésie et une gestuelle explosive dans un spectacle comique mené tambour battant.
" Un one man show atypique et particulièrement attachant car l’humour y est bien souvent bordé par la poésie et la grivoiserie par la candeur. L’auteur, Frédéric le Bret, en est l’interprète des plus convaincants. " Paris Boum Boum
" Frédéric Le Bret a du bagout et de la présence ... un goût immodéré pour les coq-à-l'âne et les disjonctions narratives. " Télérama
" Frédéric le Bret est un artiste de qualité qui évite sans souci de tomber dans les travers habituels - et obligés ! - du genre (vulgarité, humour à répétition). Tout naturellement, il fait rêver un haricot, ou souffler les embruns pour un public touché par son originalité et sa forte présence ". Robert Valbon, Directeur du Théâtre Public d' Argenteuil
" Un gros enfant mal réveillé de sa nuit. Beaucoup de nonchalance et un désenchantement tendre. Regard étonné et justesse de ton. On dirait qu'il aime la poésie. " Roland Dubillard
" Entre Woody Allen et Courtemanche, la marge est énorme. Frédéric Le Bret propose un univers unique qui nous fait lâcher prise et nous emporte pour le meilleur et pour le rire. " Thierry Samittier
39, rue des Trois Frères 75018 Paris