Buffo - La plus belle part

le 30 mars 2004
1H15

Buffo - La plus belle part

Né en 1973 à l’ombre d’Howard Buten, (écrivain et clinicien auprès d’enfants autistes), Buffo, pitre céleste, danseur, chanteur et musicien, promène depuis lors sa silhouette fragile à travers le monde. Près de 2500 représentations plus tard, l’envie lui est venue de plonger dans sa malle aux sketches oubliés pour en faire revivre les meilleurs. Il nous offre un nouveau bouquet d’humour tendre et de poésie, un grand moment de music-hall qui donne à l’amour la plus belle part !

Un nouveau bouquet d’humour tendre
La construction du personnage

La presse

Voilà 30 ans qu’Howard Buten, l’auteur de Quand j’avais cinq ans, je m’ai tué, et clinicien auprès d’enfants autistes, se produit sur scène sous le nom de Buffo. Avec ce bouffon irrésistible, on réapprend à aimer l’art du clown.

A l’occasion de ce spectacle anniversaire, les fans de la première heure retrouveront les morceaux choisis agrémentés des dernières trouvailles. Les plus jeunes découvriront un Buffo d’aujourd’hui, millésimé, sans savoir que cette maturité est le fruit de 30 ans de perfectionnement à l’infini d’un seul grand numéro de music-hall.

Sur le plan technique, il est parfait. Formé par les américains, il chante, danse, joue d’une multitude d’instruments de musique comme si tout allait de soi, sans jamais jouer la carte de la performance.

Disciple de Grock, il est sur le plateau en état d’apesanteur et comme Jacques Tati, il regarde les objets en poète. Echappé d’un music-hall, à moins que ce ne soit d’un film muet, ce clown blanc s’adresse à tous les publics tant sa poésie est universelle.

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Né en 1973, à l’ombre d’Howard Buten, Buffo, pitre céleste, danseur, chanteur, et musicien, promène depuis lors sa silhouette fragile et maladroite à travers le monde. Dans son dernier spectacle, couronné en 1998 par un Molière, Buffo s’amourache de son violoncelle, ausculte son piano victime d’une extinction de notes, démontre qu’un violon rétrécit au lavage et soulève l’enthousiasme avec bien d’autres trouvailles… Après tant d’années, on vient et revient le voir partager avec lui un moment d’enchantement, de poésie et d’amour.

Le personnage de Buffo s’est construit au fil des années, au cours d'une sorte de "première vie sur les planches". Celle-ci a débuté en 1973 aux États-Unis, par des improvisations jouées en public. Au départ, un numéro de music-hall de quelques minutes. Les minutes s’ajoutant aux minutes, Buffo a pris de l’importance, et du caractère, et sa prestation qui variait entre un quart d’heure et une demi-heure lui a permis peu à peu d’assurer la première partie d’artistes confirmés.

Depuis, Buffo a son propre show et invite à son tour d’autres artistes à faire ses premières parties. Près d’une dizaine d’années se sont écoulées, et Buffo s'est déjà produit dans 31 des 51 états américains. C'est peu de temps après qu'il a élu domicile à Paris. D'un personnage, Buffo, Howard Buten en a fait un spectacle complet qui, au fil des représentations, n'est à chaque fois ni tout à fait le même, ni tout à fait un autre...

Pour fêter ses trente ans de carrière (quelques 1355 représentations) Buffo est allé plonger dans sa grande malle de sketches oubliés, pour en faire revivre les meilleurs, et en inventer d’autres.

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"(…) Son bonnet, ses chaussures immenses, son costume noir, ses "hein ?", le sabir délicieux de ses explications, ses petits violons, ses yeux écarquillés, nous savons déjà tout et nous rions encore. Il faut être Buffo pour oser encore faire rire du répertoire naïf des grands-pères consolant les pleurs (souffler dans son pouce pour "regonfler" sa main, faire "disparaître" un doigt en le pliant). Il faut être Buffo pour perpétuer le numéro classique du ballon de baudruche qui entraîne le clown vers les airs. Il faut être Buffo pour répéter plusieurs fois dans ses spectacles le même artifice du doigt sale qu'il ne sait où essuyer." Bertrand Dicale, Le Figaro

"Tout au long du spectacle, entre créateurs et personnages créés, la fusion s’opère et le spectateur assiste en direct à la naissance d’une pièce de théâtre." Télérama, 16/08/00

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Informations pratiques

Théâtre Suresnes - Jean Vilar

16, place Stalingrad 92150 Suresnes

Accès handicapé (sous conditions) Bar Grand Paris Hauts-de-Seine Restaurant Vestiaire
  • Tram : Suresnes Longchamp à 2 km
  • Bus : Stalingrad à 18 m, Place de Stalingrad à 82 m, Stresemann à 191 m, Place de la Paix à 331 m, Les Mazurieres à 377 m
  • Transilien : Suresnes Mont Valérien à 2 km
  • Navette gratuite Paris - Suresnes : Une navette est mise à votre disposition (dans la limite des places disponibles) pour vous rendre aux représentations du Théâtre.

    Départ de cette navette 1h précise avant l’heure de la représentation (ex. : départ à 19h30 pour une représentation à 20h30), avenue Hoche (entre la rue de Tilsitt et la place Charles de Gaulle-Étoile), du côté des numéros pairs. À proximité de la gare Suresnes-Longchamp (Tram 2), la navette peut marquer un arrêt sur le boulevard Henri-Sellier (à l’arrêt des bus 144 et 244 (direction Rueil-Malmaison), 25 minutes environ avant la représentation. Faites signe au chauffeur.

    La navette repart pour Paris environ 10 minutes après la fin de la représentation, et dessert, à la demande, l’arrêt Suresnes-Longchamp, jusqu’à son terminus place Charles de Gaulle-Étoile.

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Plan d’accès

Théâtre Suresnes - Jean Vilar
16, place Stalingrad 92150 Suresnes
Spectacle terminé depuis le mardi 30 mars 2004

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