Présentation
Revue de presse de Cabaret:
Berlin, Paris, New-York
La presse lors dees précédentes
créations
Centenaire de la naissance et cinquantenaire de la mort de Kurt Weill.en 2000.
Le spectacle s'articulera autour de trois périodes : allemande, française et américaine; trois styles pour un même cabaret. Avec ce spectacle nous voulons rapprocher la musique et le théâtre qui sont trop souvent traités comme deux concepts différents. Weill tout au long de sa carrière a tenté de créer une forme primitive d'opéra, il a donc écrit une musique susceptible d'être chantée par des acteurs.
Avec pour toile de fond les années 30 et leur contexte social et politique, le pianiste et la chanteuse deux personnages imaginaires qui pourraient être Lotte Lenya et Kurt Weill eux-mêmes, vont nous faire revivre avec humour, drôlerie et tendresse un certain voyage de Berlin à New-York en passant par Paris.
Deux artistes en exil à la recherche de leur "Youkali", le pays de nos désirs.
Weill n'a toujours eu qu'un seul postulat, travailler une forme musicale simple bien que sérieuse et développer la mélodie populaire. Nous avons voulu, nous aussi, par notre interprétation et notre mise en scène que "CABARET: BERLIN, PARIS, NEW-YORK" soit un théâtre musical populaire.
Période allemande
Die Moritat von Mackie Messer (Brecht/Weill)
Barbara-Song (Brecht/Weill)
Nana's Lied (Brecht/Weill)
Surabaya Johnny (Brecht/Weill)
Salomon-Song (Brecht/Weill)
Période française
Youkali (Fernay/Weill)
Je ne t'aime pas (Magre/Weill)
La balade du souteneur (Brecht/Weill)
J'attends un navire (Déval/Fernay/Weill)
Le grand Lustucru (Déval/Fernay/Weill)
Les Filles de Bordeaux (Déval/Fernay/Weill)
Le train du Ciel (Déval/Fernay/Weill)
Le roi d'Acquitaine (Déval/Fernay/Weill)
La complainte de la Seine (Magre/Weill)
Période américaine
Speak low (Perelman/Nash/Weill)
I'm a stranger here myself (Perelman/Nash/Weill)
September's Song (Anderson/Weill)
A saga of Jenny (Perelman/Nash/Weill)
My Ship (Perelman/Nash/Weill)
Love Song (Alan Jay Lerner/Weill)
Stay Well (Anderson/Weill)
Revue de presse de Cabaret: Berlin, Paris, New-York
"...Claudine Van Beneden a retrouvé la voix des anges pour offrir au public un
spectacle de théâtre musical intitulé "Cabaret: Berlin, Paris, New-York".
Accompagnée au piano par Antoine Guillot, le duo a proposé un spectacle plein de
fantaisie retraçant le voyage de Weill à Berlin, Paris et New-York. A chaque étape, les
textes ont séduit le public. Une mise en scène ludique et humoristique servie par deux
interprètes de talent..." La Tribune-Le Progrès. Les Théâtrales du Velay -
Juillet 1999..
"...Pari réussi pour Claudine Van Beneden et Antoine Guillot qui ont donné un
spectacle visuel et musical, chanté par une belle voix ..."
"... avec convivialité , humour et réalité historique ne font plus qu' un..."
Ouest France - Festival de Poche de Hédé - Août 1999
"... Nous avons été séduit par ce spectacle diffèrent..." Le Midi
Libre - Janvier 2000
"... Saint Flour de Mercoire, une belle soirée pour se réchauffer ensemble sur des
musique de Kurt Weill..." La Lozère Nouvelle - Janvier 2000
"... Les textes du spectacle, en allemand, français et anglais sont mis en valeur
par une mise en scène et des costumes qui nous replongent dans cette période troublée.
Un spectacle drôle, léger et plein de sens qui nous permet de redécouvrir Kurt Weill
bien servi par les interprètes et dont l'esprit est magnifiquement rendu: un mélange de
fatalité, de tristesse et d'immense plaisir de vivre malgré tout!" Patrick
Ménard - Centre Culturel de Orly - Mars 2000
"... Le Parti-pris de suivre un ordre chronologique, de soigner la mise en scène du
récital, de ménager quelques touches d'humour, façon "entertainment" ( comme
pour la chanson "Poor Jenny"), tout cela met bien en valeur l'oeuvre de l'ancien
collaborateur de Brech. Avec l'impassible Antoine Guillot au piano, Claudine Van Beneden a
révélé qu'à ses talents de comédienne on doit désormais ajouter celui de chanteuse."
L'Echo de Chateauroux - 11 juillet 2000
La presse lors dees précédentes créations
Sarah Bernardt, l'ambre d'Oscar de Patrice Bastard
"...Un univers très particulier relayé par la mise en scène efficace de Sandrine
Bouchou, à la fois sobre et singulière.Le texte est beau, les comédiens sont
brillants..." Ouest-France : 27 mai 1997.
"...Sarah Bernardt, l'ambre d'Oscar, au Festival de Poche, est l'une des pièce
les plus attendues par le public..." Ouest-France : 14 août 1997
"...Cette pièce sur la condition de l'artiste, l'amour, la vie, la mort et
l'immortalité de l'art, a poussé les comédiens à réaliser un travail de recherche sur
les formes de communication possibles entre les morts et les vivants..." Petit
Hébertot (Paris) La Terrasse : avril 1998
"...Patrice Bastard a imaginé une improbable rencontre, lors d'une séance de
spiritisme, entre la célèbre comédienne et l'écrivain anglais qui lui voue une
dévorante admiration, mise en scène par la jeune Sandrine Bouchou..." Libération
: 04 mai 1998.
"...On ne sait pourquoi ce petit spectacle nostalgique et vénéneux laisse
finalement de sombres et belles traces dans la mémoire. Peut-être simplement parce que
les comédiens même malhabiles s'y offrent, y croient et nous entraînent malgré eux,
malgré nous, dans l'impossible. Au pays des fantômes, par-delà les frontières de la
vie..." Fabienne Pascaud - Télérama : 02 mai 1998.
"...Ce spectacle mis en scène dans une saine liberté par Sandrine Bouchou est
incontestablement traversé par d'une étincelle gracieuse et originale.Véritablement
hantés par leurs personnages, le regard pris électrisés Claudine Van Beneden et Xavier
Poulliat emportent toute notre adhésion et nous scotchent à notre fauteuil..." Paris
Boum-Boum : 20 mai 1998.
Totenfloss, 2050 : Zone Inhabitable de Harald Mueller
"...La mise en scène de Claudine Van Beneden allie une simplicité évidente à
une évocation réussie d'un futur sombre. Si quelques longeurs sont à noter, le tout est
fort bien réussi, notamment grâce aux quatre comédiens au talent indéniable, en
particulier Sandrine Bouchou, merveilleuse. Cette comédie tragique bouscule les
certitudes comme elle bouscule le language alliant le français, l'anglais et l'allemand
dans une "novlangue" épurée..." Ouest-France :
octobre 98.
Jenny des lupanars (Spectacle musical)
"...Sur le plan artistique, la révélation du week-end de clôture restera
sans doute "Jenny des Lupanars" le spectacle de cabaret monté par la compagnie
Nosferatu..." Ouest-France : 26 août 1997
18, rue Favart 75002 Paris