L'harmonie règne entre romance et contemplation chez Beethoven, poésie chez Schubert, hardiesse et modernité chez Schumann. Le touché à la clarté diaphane du pianiste Christian Zacharias devrait éclairer la soirée d’une évidente lumière.
Immense pianiste, Christian Zacharias a réussi, comme peu d’autres solistes, son passage à la direction d’orchestre. Les concertos de Mozart furent sa première échappée collective au début des années 90, qu’il mena de main de maître au clavier et au pupitre en même temps. Depuis, il a mené bien d’autres aventures symphoniques jusqu’à celles depuis la fosse. Mais on ne renie pas ses premières amours surtout les grands maîtres romantiques qu’il vénère. Son touché à la clarté diaphane devrait éclairer la soirée d’une évidente lumière.