Compte de fée

Spectacle jeune public de 5 à 11 ans.

Sous nos pieds, un petit peuple
Les fées sont parmi nous !
La presse

• Sous nos pieds, un petit peuple

Un petit lutin, comme ceux que l’on rencontre dans nos jardins derrière une brouette ou un moulin, déplace une grosse pierre pour rejoindre sa tanière…

Mais ce n’est pas parce que l’on habite la forêt que l’on peut tranquillement vaquer à ses occupations ! Ailleurs, une libellule, enfant de fées, vient de naître et veut tout apprendre de la vie. Dans ce petit monde peuplé de trolls, fées, farfadets, gnomes et korrigans, le lutin saura reconnaître ses amis aux pouvoirs magiques de ses morveux ennemis et s'attachera à la petite fée jusqu'à ce qu'elle disparaisse...

Le monde du petit peuple grouille et disparaissent sous nos pieds.

Chuuutt… Méfions-nous en marchant…

Distribution en alternance.

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• Les fées sont parmi nous !

Vous pouvez croire que la forêt n’a pas d’âme… Mais vous ne pouvez plus croire qu’il n’y a pas d’âmes dans la forêt ! Les fées sont parmi nous ! Toute sorte de familles vivent et se rencontrent naturellement comme si cela se passait depuis bien longtemps. L’enfant devient un spectateur privilégié de la vie des petits êtres qui les font habituellement rêver. Ils peuvent avoir les mêmes manières, personnalités, gentillesses ou méchancetés que les hommes… La magie en plus.

Ici tous les protagonistes sont différents. Chacun appartient à une espèce bien distincte : troll, farfadet, gnome, lutin, fée… Ils pourraient tous vivre en harmonie, s’il n’y avait la jalousie et le mauvais fond de certains. Au delà de la magie, ce qui l’emportera sur la soif de pouvoir, c’est l’amitié.

Tout cela se passe très simplement au travers de l’histoire banale d’un petit lutin bien vieux, à qui on ne la fait pas, car il a déjà bien roulé sa pierre et sa bosse… C’est un petit divertissement qui nous fait rencontrer ceux que l’on a si souvent imaginés dans nos rêves. Restez calmes… La forêt est en vie.

Jean-Yves Brignon

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• La presse

"Une tranche de vie onirique plantée dans une atmosphère inquiétante servie dans des décors surréalistes.[...]" Marie Godfrain, Zurban, 14 avril 2004

"Le Cubitus présente ici une des réalisations les plus abouties de son répertoire. Comme une histoire sans fin, mais sans fanfreluche, admirablement ficelée, et qui parvient sur une toute petite scène, à créer l'illusion d'un grand spectacle. Superbe. " Henriette Bichonnier, Télérama, 1er janvier 2000

"On est vraiment dans la féérie et les petits se laissent prendre au jeu des acteurs qui tiennent le rôle des personnages. (...) Par-delà la beauté du spectacle, les enfants comprennent qu'il suffirait de peu pour que tous les êtres, aussi différents soient-ils puissent vivre en harmonie s'il n'y avait la jalousie et la méchanceté. Et, surtout, que l'amitié est un atout majeur à cultiver. L'éloge de la tolérance et de l'amitié." Corinne Nèves, Le Parisien, 11 janvier 2000

"Esthétiquement, la compagnie du Cubitus offre ici un spectacle très abouti. (...)  Le jeu des comédiens, notamment le personnage principal particulièrement cabotin, permet d’oublier l’indigence de l’histoire et plonge le spectateur avec légèreté dans cet univers fantastique." Pierre Joaquim, La théatreothèque

"Une libellule, enfant de fées, se perd dans le monde souterrain des trolls, des lutins, des gnomes et des korrigans... Arrivera-t-elle à retrouver son chemin dans cet étrange parcours initiatique ? Des personnages féeriques comme on en voit dans les contes, des décors surprenants... Une promenade magique et drôle dans le monde d'en dessous de la terre." Fanny Defrasne, Paris Frimousse, février 2005

"Un enfant de fée perdu dans le monde des gnomes et korrigans nous emmène loin, loin au pays des rêves insolites. Au milieu de formes et de personnages dont on ne sait jamais s'ils sont méchants ou bons, le héros évolue dans des décors fous où des champignons deviennent méduses, des structures molles montent du sol et disparaissent. C'est une des oeuvres les plus abouties de cette compagnie très inventive." Henriette Bichonnier, Télérama, 26 février 2005

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