Le triomphe de l’accordéon et l’esprit Galliano-Piazzolla.
Galliano : La Petite Suite Française
Liszt : Rhapsodie hongroise n° 2 (arrangement pour accordéon seul de Cyrille Lehn)
Legrand : Les Parapluies de Cherbourg (arrangement pour accordéon seul de Eugeny Derbenko)
Piazzolla : Michelangelo 70, Oblivion
Khan : Galop issu du folklore mongol, pour orchestre seul
Perrine : Fluctuat nec mergitur, concerto pour accordéon et orchestre à cordes (création)
Galliano : Tango pour Claude
Du bal musette de son Auvergne natale aux ors de l’avenue Montaigne en passant par les studios de France Musique, Félicien Brut aura donné ses lettres de noblesse à l’instrument populaire qu’est l’accordéon. En solo ou accompagné par l’Orchestre à cordes de la Garde républicaine, il nous offre un programme bigarré, où son ami Galliano et l’illustre Piazzolla seront bien sûr incontournables. Du piano à queue au clavier à bretelles, on guettera aussi la transcription d’un tube virtuose signé Franz Liszt. L’autre événement de la matinée est à chercher du côté de la création du concerto de Thibault Perrine, dont le titre emprunte sa devise à Paris. Une ville que le virtuose célébrait déjà dans son dernier album.
Avec l'Orchestre à cordes de la Garde républicaine.
15, avenue Montaigne 75008 Paris