De nos jours (Notes on the circus)

A partir de 8 ans.

• Un nouveau concept de cirque !

Un « escalier mécanique du pouvoir », un « mât à moitié pour se sauver » transformable en un « trapèze venu de Washington », quatre interprètes s'étant engagés par écrit à « être en sueur 50 % du temps »...

À mi-chemin entre l'humour de Benny Hill et celui de Godard, les quatre jeunes auteurs d'Ivan Mosjoukine appliquent à leur cirque les principes du montage cinématographique, pour construire et déconstruire à vue les mécaniques de l'action scénique.

Fragmentées, acrobatiques et/ou textuelles, les interventions « absurdistes » du quatuor pourront être refaites quatre fois sous un angle différent. Histoire de démultiplier nos points de vue de spectateurs sur l'amour, la mort, la chute, l'équilibre, le sentiment de tristesse ou la pêche industrielle...

• La presse

« Ce spectacle fait défiler à toute allure quatre-vingt vignettes sur le cirque qui s’annoncent joyeusement déstabilisantes.  » Le Monde

« Rares sont les spectacles qui vous donnent immédiatement envie d’y repiquer : De nos jours, du collectif Ivan Mosjoukine, est de ceux-là. Espèce à protéger s’il en est. (...) La liberté est revendiquée haut et fort, y compris celle de rater le numéro, le reprendre ou l’évacuer. (...) A leur façon, impolie et talentueuse, les Ivan Mosjoukine lui rendent le sourire. Et à nous aussi. » Philippe Noisette, Les inrocks, 25 mars 2013

« Les quatre jeunes artistes du collectif bousculent avec fraîcheur le cirque, sur le fond et sur la forme. » Télérama sortir

« Sans doute le spectacle le plus remuant de cette année, Note on a circus (De nos jours) est également le plus ambitieux. Quatre artistes à tout faire - fil de fer, comédie, acrobatie, danse et... striptease ! -, un rythme d'enfer qui fait passer ces deux heures, en 80 scènes, à toute vitesse : le collectif Ivan Mosjoukine est ce qui pouvait arriver de mieux au cirque contemporain. (...) Ivan Mosjoukine, nom chippé à une star oubliée du cinéma muet, n'a pas fini de faire tourner les têtes. » Philippe Noisette, Les Échos, 12 octobre 2012