Catherine et Stéphane, Carole et Philippe, deux couples d'amis, se réunissent chez Carole et Philippe, la veille du mariage de Catherine et Stéphane, pour les derniers préparatifs.
Mais en cette veille du plus beau jour de leur vie, rien ne va plus ! Catherine aurait voulu la robe de Lady Di pour danser sur une valse de Strauss, tandis que Stéphane se préoccupe avant tout de compter les sous qu'il n'a pas.
Carole, bonne amie de Catherine, se réjouit pour ses amis mais en grand romantique, elle craque. Frustrée dans sa relation avec Philippe, ses attentes inavouées refont surface. Philippe quant à lui, ne voit que ce qui ne fonctionne pas dans la société, il s'insurge et ne remarque rien de ce qui se passe sous son nez : il n'entend et ne comprend rien aux femmes.
Entre les filles et les garçons, on ne parle plus le même langage alors les quiproquos s'enchaînent, les nerfs lâchent, les pleurs fusent, la crise monte en crescendo, rendant ces quatre-là touchants et drôles, très drôles !
Distribution en alternance.
"Permettre aux homosexuels de se marier, ce n'est pas un service à leur rendre !"
"Comment tu peux dire à quelqu'un qui ne t'écoute pas, qu'il ne t'écoute pas ?"
"On peut toujours espérer rencontrer un homme plus beau, plus riche et plus attentionné mais sachez que plus moche, plus con et plus radin, ça existe aussi."
"Si j'ai demandé à Catherine de m'épouser, c'était pour payer moins d'impôts. Je réalise que ce mariage est une très mauvaise opération financière."
"Une femme, c'est une semaine d'hystérie et trois semaines de déprime."
"Et dis-toi qu'après la ménopause c'est pire, en somme toute leur vie elles nous emmerdent avec leur utérus."
"Tu vois, l'amour, c'est comme la mécanique. Si tu n'entretiens pas ta femme régulièrement, tu t'étonnes de la voir couler une bielle et la réparation te coûte très cher."
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