Présentation
Synopsis
Entretien avec Philippe Chevallier et Régis Laspalès
Philippe Chevallier et Régis
Laspalès
La musique de la pièce
Nouvelle aventure théâtrale pour Philippe Chevallier et Régis Laspalès qui proposent Déviation obligatoire, une pièce à cinq personnages dont ils sont les auteurs, metteurs en scène et interprètes. Une plongée pleine d’humour dans un univers surréaliste où les apparences sont trompeuses.
Après le boulevard déjanté avec Ma femme s’appelle Maurice et Feydeau avec Monsieur Chasse, les deux comédiens, complices depuis le cours Simon en 1980, prennent un nouveau tournant en invitant pour la première fois d’autres acteurs à jouer dans leur univers décalé.
Marc invite son copain Phil à pendre la crémaillère de son loft de 40m². Les deux célibataires endurcis, collectionneurs d’idées reçues passées au tamis de leur folie et fans de séries télé ringardes invitent à dîner une femme qu’ils ne connaissent pas. Viendra-t-elle ? Cette comédie à cinq personnages (mais peut-être y en a-t-il plus ?) réserve des rebondissements surprenants qui entraîneront les spectateurs aux confins du rire et de l’absurde.
Marc invite son ami Philippe à la pendaison de crémaillère de son nouveau loft de 40 m². Philippe a pris l’initiative de convoquer à cette soirée, une inconnue contactée par le biais d’une petite annonce. Les deux célibataires endurcis attendent fébrilement celle qui à leur yeux est la femme idéale. Viendra t-elle ?
Deux femmes se présentent successivement. Chacune d’elle a un physique impressionnant… dans un registre différent. Laquelle des deux est-elle venue pour l’annonce ? Marc et Philippe croient avoir trouvé la réponse quand surgit un curieux photographe.
Dans quel monde sommes nous ? A qui se fier ? Certainement pas aux apparences, mais celles-ci ne sont elles pas aussi trompeuses que la réalité ? Le bon sens ramènera les deux amis près de chez eux, après cette déviation obligatoire, mais passagère.
Pourquoi proposer aujourd’hui une pièce que vous avez écrite ?
Après avoir joué deux pièces dont nous n’étions pas les auteurs, nous avions envie de proposer
quelque chose de différent au public, de prendre une nouvelle direction. Au delà de ce challenge,
il y avait un vrai besoin de nous remettre à écrire car ayant joué pendant six ans les textes
d’autres auteurs, nous avions accumulé plein d’idées et de situations. Nous avons donc décidé d’écrire cette pièce pour poursuivre cette expérience du théâtre
qui nous a beaucoup plu, tout en y apportant des choses de notre univers.
Comment définiriez vous la pièce ?
Ce n’est ni un boulevard ni une comédie classique, mais quand même une pièce
qui a l’ambition de faire rire. L’humour découle plus d’un univers décalé, surréaliste,
où l’absurde a une large part, où le réel se mélange à l’irréel. Avec évidemment le goût
pour le délire que l’on retrouve dans nos sketchs.
Quelles ont été vos sources d’inspiration ?
L’inspiration n’a pas changé... Nous avons imaginé la situation de départ avec ces deux personnages
et leur univers étriqué, puis nous avons laissé libre cours à notre imagination. Cette pièce tente
avec humour de parler de ce qui est culturel ou pas, de la télévision, mais aussi de la solitude
dans laquelle on vit : des êtres qui se croisent mais qui en fait restent seuls…
En plus d’avoir écrit la pièce et d’y incarner les personnages clefs, pourquoi avoir décidé
de vous lancer dans la mise en scène ?
La suite logique de notre travail d’auteurs était de donner notre point de vue de metteurs en scène.
Pendant l’écriture de la pièce, nous avions déjà des idées de situations, de mise en scène.
C’est à la fois un gage de liberté, et la possibilité d’un champs plus vaste dans le jeu.
Evidemment cela représente aussi une prise de risque, mais nous y voyons surtout un nouveau défi,
une nouvelle expérience.
Qu’attendez-vous du fait d’entendre votre texte interprété par d’autres comédiens ?
C’est un immense plaisir. Jusque là, nous n’avions écrit que pour nous, nous sommes très impatients
de voir se qui va se passer avec les autres comédiens, de voir comment cela va fonctionner
et surtout de les voir jouer sur nos textes !
Ils se rencontrent en 1980 au Cours René Simon.
En 1981, ils écrivent et jouent ensemble leur premier spectacle
Pas de fantaisie dans l’orangeade au Café d’Edgar.
De 1982 à 1987, Le Théâtre de Bouvard sur Antenne 2 va les révéler au grand public et les rendre populaires.
En 1987, ils reprennent Pas de fantaisie dans l’orangeade au Théâtre du Rond-Point Renaud-Barrault.
De 1987 à 1997, de nombreux "Two Men Show" vont se succéder et notamment Bien dégagé autour des
oreilles, S.V.P., C’est vous qui voyez, Chevallier et Laspalès vont au Dejazet…
Le Café de la Gare, La Comédie de Paris, Le Théâtre des Nouveautés, La Comédie
des Champs-Elysées, Le Palais des Glaces, Le Théâtre Dejazet et L’Olympia en 1994
et en 1996 les accueillent tour à tour.
En 1998, ils jouent pour la première fois dans une pièce de théâtre Ma femme s’appelle Maurice de Raffy
Shart. C’est également l’année de la sortie de Ça n’empêche pas les sentiments de Jean-Pierre Jackson,
le premier film qui les dévoile tous les deux sur le grand écran.
On les retrouve également dans le film Le Pari aux côtés de Didier Bourdon
et Bernard Campan.
Pendant deux ans et demi et 600 représentations Ma femme s’appelle Maurice triomphe au Théâtre du Gymnase, au Théâtre Marigny et au Théâtre Mogador, attirant plus de 350 000 spectateurs.
La SACEM leur décerne le Grand Prix de l’Humour 1999.
Création en janvier 2001 de la pièce de Feydeau Monsieur chasse, 350 représentations au Palais Royal, nomination aux Molières dans la catégorie Meilleure Pièce Comique.
Septembre 2002, sortie de l’adaptation cinématographique de Ma femme s’appelle Maurice réalisée par Jean-Marie Poiré.
Octobre 2003, sortie de l’intégrale des sketches de Chevallier et Laspalès remasterisés et réunis dans un digipack collector (TF1 vidéo).
“Certains thèmes sont gais, voire entraînants, mais nous avons aussi voulu donner, sur certains passages, une intention de gravité, de mélancolie et tâcher de tendre davantage vers l’émotion. Le texte de la pièce est très riche et les angles de lecture sont multiples. Le glissement possible des personnages vers la folie, passant inexorablement par l’absurde et frôlant le tragi-comique, est une source d’inspiration inattendue pour une partition musicale au théâtre”.
Guillaume Stirn
je ne suis pas fan du duo ... ni des autres comiques ! mais alors la ... pleurer de rire pendant 1H30 ! vraiment trop court ... pendant le spectacle, j'ai vu pleurer presque toute la salle de rire !!!
il faut vraiment etre de mauvaise foi pour nier avoir hurlé de rire !!! oui c'est con (c'est fait expres !!!) ils jouent les cons, les abrutis ! mais alors c'est trop rigolo !!! ATTENTION spectacle uniquement pour gens capables de comprendre le second degré !!! les idiots ne rigoleront pas ... d'ailleur le spectacle peut les vexer ! mais pour les autres ALLEZ Y ! Cadeau d'anniversaire ? envoyer qui vous voudrez ... ils adorerons !
SPECTACLE NUL ON NE RIT PAS ON NE COMPREND RIEN C'EST COMPLETEMENT DEBILE TRES DECU DE CHEVALLIER ET LASPALLES A NE PAS VOIR
je ne suis pas fan du duo ... ni des autres comiques ! mais alors la ... pleurer de rire pendant 1H30 ! vraiment trop court ... pendant le spectacle, j'ai vu pleurer presque toute la salle de rire !!!
il faut vraiment etre de mauvaise foi pour nier avoir hurlé de rire !!! oui c'est con (c'est fait expres !!!) ils jouent les cons, les abrutis ! mais alors c'est trop rigolo !!! ATTENTION spectacle uniquement pour gens capables de comprendre le second degré !!! les idiots ne rigoleront pas ... d'ailleur le spectacle peut les vexer ! mais pour les autres ALLEZ Y ! Cadeau d'anniversaire ? envoyer qui vous voudrez ... ils adorerons !
SPECTACLE NUL ON NE RIT PAS ON NE COMPREND RIEN C'EST COMPLETEMENT DEBILE TRES DECU DE CHEVALLIER ET LASPALLES A NE PAS VOIR
4, boulevard de Strasbourg 75010 Paris