Dezoriental

Présentation
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• Présentation

Alaoua Idir (Oud, guitare)
Jean-Luc Frappa (accordéon)
Abdel Sefsaf (chant)
Stéphane Prost (percussions)
Antony Gatta (Batterie)
Frédéric Delluc (tuba)

Né en 1999, le groupe sort son premier album en 2000 et connaît alors une ascension fulgurante, enchaînant les tournées nationales et internationales. Dezoriental a séduit rapidement par sa capacité à réinventer son orient musical à chaque nouvelle composition. Ils chantent en français et en arabe… dans leurs langues maternelles à la recherche d’une langue fraternelle. Seul le « son » compte. Les instruments choisis, oud, accordéon, percussions, tuba, batterie, guitare acoustique ou électrique, voix… parfois détournées, sont autant d’outils au service d’une musique ouverte à tous les genres. Les influences sont multiples : oriental, rock, jazz, tzigane, techno, musette, blues, rap… Pour les textes, ils ont délaissé le langage cru des premiers chebs sans adopter le sentimentalisme qui a suivi. Ils renouent avec le côté poétique et contestataire du raï pour notre plus grand plaisir. Sur scène, ils emportent l’adhésion du public par leur énergie communicative, véritable concentré d’émotion et de passion. Laissez-vous désorienter !

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• La presse

« C’est la musique d’un bazar d’abord alangui, comme une sieste estivale, puis qui buis, s’agite et bascule dans le tumulte, alors que le soleil vient de se coucher et que la nuit devient propice à tous les déchaînements… 
La drôle de bande joue un nomadisme musical qui noue et délie les rythmes d’un orient qui court de l’Atlantique marocain jusqu’à ce désert d’Inde, porté jusqu’au cœur de l’Europe par un vent nommé tzigane. Un souffle brûlant qui n’a cessé de désorienter les sens… » Libération

« Savoureuse désorientation du nomade volontaire. Douce impression d’être perdu mais, à la fois entouré d’amis… les Dezoriental se jouent des chapelles et dans le creuset d’un pays multicolore, inventent des hymnes à la rencontre. Les chiens peuvent aboyer… la caravane Dezoriental passe. » Chorus

« … Dezoriental et le subtil Karim Ziad, sont en train de s’emparer, avec créativité, de diverses traditions algériennes, marocaines ou tunisiennes, qu’ils mixent – sans les dénaturer – avec du rock, du jazz, du funk, du rap ou de la techno. (…) La relève est assurée. » 

« Chanteur, auteur et compositeur Abdel Waheb Sefsaf est une pile électrique. Sur scène, sa voix, sa musique, ses paroles et sa gestuelle sont à l’unisson : un torrent d’énergie. » Le Dauphiné 

« Déboulonnés, les six musiciens qui composent l’ensemble Dezoriental ? peut-être pas, bien que leur musique agisse tel un virus qui secrètement s’installe pour finalement s’imposer à vous. » Libération

« Déosrientés ? leur musique festive, accessible, qui surfe sur une mélodie tout en improvisant, comme dans le jazz, emporte largement l’adhésion. » Le Parisien

« Le trio Dezoriental (chant, oud et accordéon) est parvenu à synthétiser diverses influences majeures pour confectionner un répertoire étonnamment lyrique et organique où les mélodies et les chansons parviennent à projet une expérience humaine nomade, donc universelle. » Le Maine

« Dezoriental, c’est le nom de ce groupe étonnant, qui mêle des sonorités d’orient, de la musique tzigane, du blues, du folk… Ca ressemble un peu aux Négresses Vertes, il y a du Massive Attack dans l’air, des plages instrumentales planantes, bref, un croisement de cultures et d’horizons musicaux. Une belle découverte, et un vrai coup de coeur ! » Les Clés de l’actualité

« Pour avoir placé leurs multiples influences au-dessus des modes, les six musiciens inventent un idiome unique, où l’humour et le propos social forgent le plus beau des hymnes patriotiques. « No made in France » est un morceau de choix, tempo tzigane. Dans la veine orientale « Désert blues » est irrésistible. Et puis une ballade musette (« Maguelone »), et puis… précipitez-vous ! » La Nouvelle République

« Une musique libérée et libertaire, ouverte aux quatre vents d’une inspiration sans frontières musardant tant du côtés des ouds et des derboukas d’Orient que du côté des violons d’Europe centrale et empruntant, chemin faisant, ses accordéons au Paname-musette. Chansons nomades et mélopées à la croisée des continents, tuba à fleur de dézo-gigue et francarabe à tous les refrains : Dézoriental, ça vous ravigote l’Orient en deux temps trois mouvements. » La Provence

« Le nom sonne comme une provocation. Et désorientés, on l’est assurément à l’écoute de cette musique qui part dans tous les sens.
Dezoriental s’abreuve à toutes les sources pour offrir à nos oreilles un univers riche, haut en rythmes et en couleurs, mais toujours cohérent. Car ce qui achève de nous convaincre, c’est que ce patchwork d’influences – l’Orient, évidemment, la musique tzigane, le blues, le musette et même Massive Attack est avant tout au service d’une écriture intelligente, de mélodies, de chansons qui se suffisent à elles-mêmes. » La Marseillaise

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