Diva…Gations

     
Présentation
Avec des extraits de
La presse

• Présentation

Opéra dell’arte en trois actes Mélo, Buffo, Amoroso.
Montage et arrangements musicaux Jean-Dominique Burroni
Directeur d’acteurs Christian Fregnet
Chorégraphes Claudine Allegra, Eric Frédéric

Musiques de Gounod, Bizet, Verdi, Wagner, Strauss, Lehar

Une revue des grands airs de l’opéra traditionnel : regard impertinent sur la démesure tant de ses personnages que, souvent, il faut bien le dire, de ses interprètes. Des décors symboliques, deux chanteurs, un instrumentaliste et un comédien. En contrepartie de ce dépouillement voulu, une foison de costumes et une mise en scène volontiers burlesque, que souligne la présence de l’accordéon.

La qualité des arrangements musicaux, le soin tout particulier apporté à l’interprétation musicale ainsi qu’au jeu scénique permettent à ce spectacle de toucher un public très éclectique, aussi bien les amateurs de lyrique, que les non-initiés, notamment les jeunes, auxquels il donne une vision inattendue des coulisses de l’opéra.

Haut de page

• Avec des extraits de :

Marche des soldats (Faust de Gounod)
Air du Page (Les Huguenots de Meyerbeer)
Air de Méphisto (Faust)
Air du Toréador (Carmen de Bizet)
Valse de Juliette (Roméo et Juliette de Gounod)
Air des Bijoux (Faust)
Anges Purs (Faust)
Chœur des Bohémiens (Le Trouvère de Verdi)
La Danza (Rossini)
Tacea la Notte Placida (Le Trouvère)
Air d’Azucena (Le Trouvère)
Séguedille (Carmen)
Entrée de la Walkyrie (Die Walkure de Wagner)
Romance de l’Etoile (Tannhauser de Wagner)
Duo du cavalier (La Veuve Joyeuse de Lehar)
Air d’Orlowsky (La Chauve-Souris de J. Strauss)
Finale (La Chauve-Souris)

Haut de page

• La presse

« A chaque apparition Marie Duisit, soprano, et Christian Bihel, baryton, accompagnés au piano par Jean-Dominique Burroni, de l’Opéra de Paris, nous offrent leur plus belle voix avec une générosité touchante. Car ces deux-là ont un réel plaisir à chanter, à se jouer de leurs personnages comme à faire découvrir leur univers aux néophytes. Ca ne se refuse pas. » L’Express – Marion Vignal

    « Ils s’amusent à tirer de leur malle-sac à malices les personnages du répertoire lyrique qu’ils enchaînent dans un joyeux désordre. Le pianiste se met aussi de la partie pour faire régner un doux délire. » Zurban - André Fetet

« En une heure, ils vont dépoussiérer le Faust de Gounod, la Carmen de Bizet, Le Trouvère de Verdi et le Tannhäuser de Wagner. Et, si la voix est au rendez-vous, l’impertinence, le burlesque et l’humour le sont aussi. Aussi revigorant que la vision de la chute inopinée d’une walkyrie, un soir de pleine lune ! » Marianne – Myriam Perfetti

Haut de page

Jean-Dominique Burroni

Pianiste, Chef assistant et soliste à l’Opéra de Paris. Il travaille avec les chefs d’orchestre les plus renommés et avec les grands chanteurs internationaux .
Il a collaboré en tant que chef d’orchestre à des masterclass sur la musique italienne du 19e et 20e siècle à Radio-France, et également à des séries d’opérettes au Théâtre de Paris (Le Pont des Soupirs, La Belle Hélène…)

En 1995/96, il arrange des musiques de Charles Koechlin pour le spectacle de la Compagnie de danse Blanca Li.

En tant que chef de chant et chef d’orchestre, il consacre une part importante de son activité à la pédagogie et à l’étude des rôles. Il fait fréquemment travailler des ensembles de musique de chambre.

En 1997, il signe des arrangements sur des thèmes de La Veuve Joyeuse pour l’Opéra de Paris, et en particulier le cancan final.

Christian Fregnet

Il signe sa première mise en scène en 1979 avec Blasons d’Amour donné au Festival du Marais à Saintes.

Directeur artistique de l’Atelier Lyrique du Maine, il met en scène des opéras dont La Serva Padrone de Pergolèse, Orfeo et Euridice de Gluck…

Il écrit l’adaptation française d’Abu Hassan de Weber, donnée en 1988 au Châtelet, crée au Festival d’Avignon Les Anciennes Odeurs de Michel Tremblay en 1988 et 1989.

Egalement comédien, il vient de jouer Valmont dans Les Liaisons Dangereuses et Je vous écris de Cayenne sous la direction de Jacques Bailliart.