Spectacle à voir en famille, à partir de 12 ans.
Samir et Wissam Joubran (Palestine)
Fawzy - Bagdad Groove
En première partie de Fawzy
«Venus de Palestine, Samir et Wissam Joubran juste accompagnés de leurs ouds ont transformé la nuit en un rêve de douceur. Sur leurs visages, on pouvait voir défiler les souffrances d’un peuple…Ils ont transformé ces quelques notes en une nuit magique.» - Bérangère Dunglas, Sud-Ouest, Août 2002
«…Les deux frères parcourent le monde avec un répertoire de musique classique arabe, de compositions et de reprises de texte poétiques abordant des thèmes universels. Ils laissent aussi une large place à l’improvisation, jouant en phase avec le public, au gré des lieux ou des manifestations, ce qui donne à chacun de leur concert une couleur différente» - Céline Musseau, Sud-Ouest, Août 2002
« … Samir et Wissam Joubran ne purent cacher leur émotion lorsque l’auditoire exulta, debout, à la fin de leur représentation… Samir, 29 ans, est l’aîné. Le chef d’orchestre. Le virtuose. Sur son luth ses doigts galopent, avec justesse et sensibilité. Aux sextolets trépidants et enrobés de trilles succèdes les syncopes, suaves, énigmatiques, chevauchant des portées qui inspirent au-delà des barres de mesure. Ce jour là Samir à joué pour sa femme et sa fille bloquées à Ramallah. Le public à écouté, la gorge nouée, l’histoire de ces garçons complices dans leur musicalité, leur fraternité et leur humanité.» - Valérie Sasportas, Le Figaro, Août 2002
Chant et oud : Samir Joubran
Oud : Wissam Joubran
«…Avec son luth arabe, son cor anglais, son hautbois et ses chansons doucement ensorcelantes, Fawzy Al-Aiedy emmène le spectateur à un état progressif de transe intérieure, dans les airs, entre Paris et un Bagdad de rêve.» - Yves Jaeglé, Le Parisien, janvier 2000
«… Fawzy chante en arabe des mélodies orientales qui parlent d’amour, s’accompagnant à l’occasion de son luth. Il reprend des chants populaires d’ivresse, et des chansons d’inspiration beaucoup moins traditionnelle…Lorsqu’il arpente la scène en marquant le rythme, une main levée, il rappelle la gestuelle de certains rappeurs. Car la musique de ce concert…est un subtil et détonant mariage de sons traditionnels et d’instruments branchés. La virtuosité du joueur de darkouba, la présence affirmée du violon électrique, ou bien l’accordéon, savent mettre en valeur la manière de chanter bien particulière de Fawzy…» - Ouest-France, Août 2002
Chant, Oud (luth) : Fawzy Al-Aiedy
Violon oriental : Farhat Bouallagui
Guitare : Pierre Chereze
Synthé : Eli Chemali, ou Léandro Aconcha
Basse : Kevin Reveyrand
Batterie : Francis Arnaud
Accordéon : Francis Jauvain ou Sameth Fakhri (accordéon oriental sous réserve)
Percussions : Adel Shams El Din, Mustapha Ettamri
Son : JC Batut
Rue Gabriel Péry 02430 Gauchy