« Tu peux enlever l’enfant du pays, mais tu ne peux pas enlever le pays de l’enfant » (proverbe indien)
Slam, conte, hip-hop et témoignages vidéo se mêlent dans cette création où Myriam Baldus raconte son itinéraire, de la case en tôle construite par son grand-père Marcel en Guadeloupe (où elle est née), au béton d’une HLM d’une cité de Rillieux-la-Pape (où elle a grandi) ; des histoires de cases déplacées ou détruites, délaissées ou reconstruites, une vie d’exodes, de débrouillardises, de solidarité et de résistances.
Aux rythmes du gwo ka et de la musique hip-hop caribéenne, un spectacle qui invente un territoire poétique entre tradition et modernité pour dire, en français et en créole, la dignité des hommes et des femmes, de la terre et des déracinés.
« Myriam Baldus est allée sur les traces de son grand-père, le peintre Marcel Baldus en Guadeloupe. Elle y a découvert sa case, toujours debout, envahie par les ronces. La pièce raconte l'histoire de ces quartiers populaires rasés à Point-à-Pitre. Un magnifique spectacle. » France inter
« Un spectacle inclassable : un concert-pièce de théâtre-documentaire, sensible et passionnant. Slam, vidéos, tambour ka, musique électro, jeu de scène célèbrent le pays Guadeloupe et la famille, l’Histoire et les histoires intimes, le rural et l’urbain. » France TV
Pour cette création pluridisciplinaire et documentaire, la slameuse Myriam Baldus et la metteuse en scène Géraldine Bénichou se sont associées à des artistes guadeloupéens – musicien-conteur, photographe, vidéaste et graffeur - pour raconter une histoire à la fois très singulière et universelle, qui s’écrit entre la Guadeloupe et l’hexagone.
En mots, en musique et en vidéo, Fòs a Kaz la, raconte l’itinéraire de la slameuse Myriam Baldus, de la case en tôle construite par son grand-père sur la terre de Guadeloupe où elle est née, au béton d’une cité de l’Hexagone où elle a grandi. En écho à l’histoire de vie de Myriam et de son grand père Marcel, des témoignages vidéo de « vayan » guadeloupen.ne.s racontent des histoires de cases déplacées ou détruites, délaissées ou reconstruites, des histoires d’exodes, d’exils, de solidarités et de résistances.
En mots slamés et contés, aux rythmes du gwo ka et de la musique hip hop, en images et en vidéo - des murs peints de la case de Marcel aux graffs des cités hlm - Fòs a kaz la invente un territoire poétique où se réconcilient tradition et modernité pour dire - en français et en créole - la dignité des hommes et des femmes de la terre et des déracinés
15 rue Traversière 75012 Paris