Entre désamours, séparations, ambiances nocturnes et serial killer, Gaspard LaNuit aborde la vie avec un cynisme décapant nourri d’égocentrisme. Une vie, qui, à travers son prisme, frôle avec le fantasque et tutoie le comique par l’absurde.
Ce Gaspard-là est un auteur, un maître de la syllabe aiguisée, du verbe pointu, de la triple croche à double détente. Pas rat pour deux sous, il sourit envers et malgré tout. Une pointe d’ironie entre les reins, il se livre sans faux semblants. Il chante vrai, entendez comme il est, comme il aime, comme il hait. Un peu, beaucoup, passionnément…
« Une voix dissonante au coeur de la jeune chanson, des histoires déglinguées de fantômes et de rêves, des mélodies jazz un peu bancales et enfumées qui rappellent furieusement celles d’Arthur H ou de Tom Waits... À écouter par une nuit d’été, dans la torpeur d’un Paris déserté. » Télérama, janvier 2006
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