Le jeune pianiste germano-russe Igor Levit devrait sous peu compter parmi l’élite internationale en matière d’interprétation. Ambitieux programme que celui proposé ce soir avec deux des sonates dites « tardives » de Beethoven et les non moins célèbres variations Diabelli.
Récital de piano
Le jeune pianiste germano-russe Igor Levit devrait sous peu compter parmi l’élite internationale en matière d’interprétation. Bien que très à l’aise dans son époque (il est extrêmement présent sur les réseaux sociaux), c’est un artiste qui préfère la profondeur à la précipitation. Son cœur bat avant tout pour le répertoire allemand, pour Bach, le classicisme viennois et le clavier romantique.
Ambitieux programme que celui proposé ce soir avec deux des sonates dites « tardives » de Beethoven et les non moins célèbres variations Diabelli.