Inch'Allah chez les bourgeois

• Deux femmes que tout oppose

Faustine Boullac de la Coulandière, représentante de la haute bourgeoisie versaillaise, a décidé de marier son fils Louis-Edouard à Eglantine, une jeune femme de même origine sociale.

Djamila Bouhamza, tout aussi fortunée grâce à une belle réussite dans le commerce de proximité, a également prévu un mariage pour sa fille Fatima, avec Mohamed, un bon parti d’origine algérienne.

Mais les jeunes adultes Louis-Edouard et Fatima s’aiment en secret. Malgré le fait qu’ils connaissent particulièrement les exigences des deux clans familiaux, ils ont décidé de célébrer leur union, coûte que coûte.  Lorsqu’il s’agira de lancer les préparatifs du mariage, quid  de l’office à l’église ou à la mosquée ? Quid du repas au couscous ou au foie gras ?

Les tourtereaux ont donc tout prévu pour que les familles soient obligées de s’entendre. Et pour commencer les rapprochements, ils exigent que leurs mères fassent toutes les deux, un test ADN, pour définir scientifiquement les origines familiales. Et quand l’ ADN parle… tout le monde en prend pour son grade.

La rencontre tourne au vinaigre. Mais une chose lie ces deux mamans : l’argent !

Sera-ce suffisant pour unir les deux familles ? Comme elles disent : « L’argent est un formidable vecteur d’amitié »…

Inch’allah chez les bourgeois est une comédie sociale satirique. C’est l’histoire de  deux femmes que tout oppose, et qui sont contraintes de sortir de leur zone de confort, sous peine de perdre leur relation avec leur progéniture.

C’est une comédie qui traite de l’identité, des discriminations sociales et raciales, du pouvoir de l’argent, et de l’emprise familiale. La mixité,  si elle est acceptée, peut devenir une force et rassembler des êtres qui s’aiment ou vont peut-être apprendre à s’aimer.

• La presse

« Une pièce désopilante. Les auteurs n'hésitent devant rien. Et ça y va ! ça y va ! A la télévision, il y a bien longtemps que la censure étatique bien-pensante aurait reçu mille plaintes. Une liberté de ton dans la forme et dans les mots qui fait vraiment plaisir... » Jean-Luc Jeener, Valeurs Actuelles