L’Étagère Duo, une pièce de théâtre, dont le thème est « la Musique » ou plutôt, celui de celles et ceux qui l’écoutent, la font, la transmettent, la fantasment... C’est aussi un « Duo » puissance 10, qui entraîne, enchante, se joue de tout ! La vie sur cette « étagère du haut », rayonne !
Ce spectacle c’est : un drôle de mariage, une mère possessive, un compositeur fou, un ténor contrarié, une diva contrariante, un manoir hanté, des légendes effrayantes, un « griot » étrange, la télévision, de la gastronomie russe « flamboyante »… ! Chacun pourra s’y reconnaître. Car qui peut dire ou affirmer : « il n’y a pas d’étagères chez moi ! »
« Explosif et surprenant cocktail, assurément ! » Froggy’s Delight
« Les deux sont d'indéniables et excellents musiciens ! » De la cour au jardin
Imaginer une forme théâtrale, une forme musicale, une forme chorégraphique, une forme... chaotique. Inviter à ma « table de jeux », chacune d’entre elles, pour y servir : « de la comédie » ! Imaginer deux personnages aux personnalités multiples. « Multiples », comme ma vie d’artiste, nourrie de rencontres et de créations, avec des chorégraphes, des musiciens, des metteurs en scène. Pendant 26 ans j’ai joué et écrit pour le groupe mythique du genre « spectacle musical » : le Quatuor, en utilisant une théâtralité basée sur la musique et l’humour. Ce groupe couronné par trois Molière, une Victoire de la Musique et le prix Sacem 2015, sollicitera, outre mes modestes talents de violoniste comédien-chanteur, ma liberté créative.
Autodidacte je m’autorise à toutes les approches, aucune retenue dans l’écriture, la composition, le jeu. Ma rencontre avec Jean-Philippe Daguerre, auteur, metteur en scène, et avec Sandrine Seubille, comédienne et chanteuse, est au départ de l’écriture du spectacle L’étagère Duo. Mais comment m’affranchir d’une histoire si forte avec le Quatuor ? Trouver un nouvel angle d’attaque pour l’écrire ?
15 tableaux pour voyager, dans la dérision, fantaisie, l’humour, l’émotion, qui, en fin de conte, donne la sensation d’un mouvement perpétuel (comme dirait Paganini), où plus rien ne s’invente mais où tout se recrée.
Jean-Claude Camors
5, rue des Vignes 75016 Paris