Une légende et son public. Un demi dieu fatigué et une foule d’adorateurs. Ils sont là, ce soir, ils appellent son nom. Mais lui n’a plus envie… Il écrase une cigarette et une fois de plus marche vers la lumière. L’histoire d’un chanteur qui a trop chanté. Une idole.
La pièce parle d’une vieille rock star qui a peur de mourir, de son acharnement à remplir le vide. Clin d’œil à Johnny Hallyday certes, mais ici, il sera juste « le chanteur ».
Il nous parle de ses succès, de ses amis, de sa famille, de sa musique, de la scène. Il parle pour remplir le vide. Il parle pour reculer le moment de sa mort. Parler de sa dépendance à la scène. De son image et du prix à payer. Le chanteur est l’homme le plus photographié en France, sa vie médiatique a rattrapé sa vie personnelle.
Sur scène, Pierre-François Garel est magistral, il n’y a pas d’autres mots. On est saisi par sa performance d’acteur, son souffle, comme habité par le personnage. Une scénographie judicieuse et épurée vient porter cette présence magnétique au plus haut. Du théâtre comme on l’aime, brut, incarné et sensible.
Par le Groupe ACM.
« Pierre-François Garel (...) est parfait. (...) Le spectacle des deux côtés du miroir. Jusqu’au noir final. Bravo. » Gérald Rossi, L'Humanité.fr, 16 juillet 2016
« Pierre-François Garel est prodigieux. Superbe acteur, véritable bête de scène. » Regarts
La dernière idole est une fiction inspirée de nombreuses lectures et de rêves autour d’une figure célèbre. Nous l’avons élaborée à partir de notre imaginaire et de faits réels.
Nous avons voulu écrire une fiction sur le temps qui passe. Comme une vanité contemporaine. La pièce parle d’une vieille rock star qui a peur de mourir, de son acharnement à remplir le vide. Nous nous sommes inspirées de la vie d’un chanteur célèbre, mais ici, nous l’appellerons juste : Le chanteur. L’écriture s’inspire de cette croyance selon laquelle au moment d’une mort imminente, notre vie est supposée défiler brutalement sous nos yeux. Il parle de ses succès, des ses amis, de sa musique. Il parle pour remplir le vide. Il parle pour reculer le moment de sa mort. C’est un hommage bruyant, une célébration scénique qui raconte la démesure de l’ idole, son jusqu’au-boutisme, sa dépendance à la scène. Et le prix à payer.
Ces deux jeunes metteurs en scène sont formidables, sur l'écriture d'abord, sur la création visuelle ensuite, et sur la direction d'acteur enfin . On reste sans voix devant "l'idole" !
J'ai passé un super moment, complètement emportée dans la vie de ce Johnny. Bravo à Pierre-Francois Garel !! jeannezam.eu
Pour 2 Notes
Ces deux jeunes metteurs en scène sont formidables, sur l'écriture d'abord, sur la création visuelle ensuite, et sur la direction d'acteur enfin . On reste sans voix devant "l'idole" !
J'ai passé un super moment, complètement emportée dans la vie de ce Johnny. Bravo à Pierre-Francois Garel !! jeannezam.eu
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