Le célibat par intermittence

Résumé
Historique
Mot du metteur en scène
Presse

Claire, Eva et Fred sont 3 étudiantes vivant en collocation. Entre la répugnance pour les mecs de l'une, les frasques amoureuses de l'autre et la recherche permanente du grand amour de la troisième, les coups de gueules vont bon train. Mais cela n'est rien sans un trio masculin qui leur tourne autour. Reste à choisir : histoire de cœur ou histoire d'un soir…

Par la Cie les K. Distribution en alternance.

• Résumé

Trois filles en collocation ça peut faire pas mal de dégâts surtout si l'on associe une nymphomane, une vierge pleine d'espoir et une allergique à la gente masculine forcément, les coups de gueules vont bon train .

Mais cela n'est rien si l'on enlève un trio masculin qui leur tourne autour : Marc, le “lover” de service, Ahmed, l’amoureux transi et David, qui ne manquera de surprendre tout ce petit monde... Trois filles, trois garçons et des possibilités par centaines. Reste à choisir : histoire de cœur ou histoire d’un soir.

Ecrit en été 2004 par Clémence Mercier, Le célibat par intermittence commence à se répéter en septembre 2004. Il faudra environ 9 mois pour la monter et faire face au désistement de deux comédiens remplacés rapidement par Laurence De Greef et Benoît Cauden.

Avec ces nouveaux éléments, la troupe se forme et se lance sur scène, la première du Célibat par intermittence est fixée le 17 mars 2005 au centre d’animation Mathis dans le 19 ème arrondissement de Paris. La salle est pleine et donne envie à la troupe de recommencer.

Ruthy Devauchel programme le Célibat par intermittence pendant le festival du marché de la Perrière, petit village de l’Orne. Revenant à peine de ce festival, la troupe remonte sur scène le 20 mai 2005 à la maison des enfants de Châtillon dans les Hauts de Seine. Le public est présent.

Sachant que le spectacle marche, Clémence Mercier décide, en accord avec sa troupe, de la programmer dans un théâtre parisien ; et en Septembre 2005, l’association « les K » signe un contrat avec le Théo Théâtre pour 21 représentations de Décembre 2005 à Janvier 2006.

Le 1 er avril 2006, « les k » ont pu remonter sur scène durant le Forum International des Associations Etudiantes au parc floral de Vincennes et ce grâce à leur assurance « Animafac », également génératrice des manifestations étudiantes.

En été 2006, l’association signe un contrat avec la mairie de La Tranche Sur Mer pour une représentation unique le 8 août 2006, et c’est devant plus de 200 spectateurs que les comédiens joueront.

Le spectacle ayant rencontré un engouement tout particulier auprès des étudiants, « Animafac » leur propose une autre date le 14 octobre 2006 pour les états généraux de la vie associative étudiante. La troupe, satisfaite de leur passage au Théo Théâtre, décide de signer une seconde programmation qui aura lieu du 20 décembre 2006 au 14 janvier 2007.

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Cette comédie renouant avec la tradition du théâtre de boulevard est également une vision sarcastique des libertés actuelles des mœurs de notre société moderne. En prenant des personnages que tout oppose, j’ai pu ouvrir mon écriture sur une palette assez large des diverses visions de l’amour.

En effet j’avais remarqué que dans notre société la facilité et le besoin de ne pas être seul et de se « caser » rapidement était devenu un phénomène de mode et au delà de cela, l’acte amoureux en lui même est devenu quelque chose de banal et a perdu tout le caractère sacré de la génération précédente.

Cela m’amusait de mettre sur scène une bande de jeunes un peu perdue entre la morale, leurs pulsions et leurs sentiments. En fait tous mes personnages ressentent un malaise plus ou moins grand et tendent tous au même but : ne pas rester seul.

Si cette pièce est comique, elle n’en est pas moins tragique et satirique ; elle pose le malaise amoureux de la jeunesse mais aussi la simplicité et la fraîcheur des pulsions sexuelles et sentimentales.

Malgré un esprit et une écriture très jeune, je pense que cette pièce peut toucher un large public et entraîner certaines réflexions ou, pourquoi pas, certaines révélations !

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"La comédie Le célibat par intermittence de Clémence Mercier a été joué à guichet fermé mardi 8 août, au pavillon de l’Aunis, et plus de cent personnes n’ont même pas pu trouver une place dans la salle en front de mer. Les spectateurs ont apprécié le fantastique talent et le dynamisme des six jeunes comédiens dans des situations les plus drôles, avec un humour fin et rafraîchissant, mais jamais vulgaire. Les jeunes acteurs, tous des professionnels du spectacle, ont merveilleusement joué la comédie, à la Feydeau, dans leur colocation un peu étroite, au fur et à mesure de leurs rencontres, dans des situations théâtrales où les quiproquos se succèdent à la vitesse grand V". Vendée Matin, 10 août 2006.

"La jeune troupe parisienne « Les K » a fait salle comble au pavillon de l’Aunis. Mardi soir, la salle du pavillon de l’Aunis n’était pas assez vaste pour accueillir tous les spectateurs qui auraient voulu assister à la représentation (gratuite) de la comédie Célibat par intermittence, de Clémence Mercier. La jeune troupe parisienne (trois filles et trois garçons) a été vivement applaudie par un public amusé et conquis par la légèreté et la vivacité du spectacle. La pièce renoue avec la tradition du théâtre de boulevard, mais avec un dépoussiérage bienfaisant et un sérieux coup de jeune. Il faut avouer que, dans cette comédie, tout respire la jeunesse : auteur, acteurs, thème (des étudiantes en co-location, avec les inévitables garçons qui leur tournent autour…). Certains regretteront que le silence d’écoute n’ait été parfait (portes d’entrée restées ouvertes à cause de l’affluence) et que la salle ne soit pas bien conçue pour du théâtre…" Ouest France

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