Jacques, ancien restaurateur à la retraite et sans grandes ressources, habite seul dans la maison provençale de sa filleule Léa. Quand elle vient lui rendre visite le temps d’un week-end, l’ambiance est au beau fixe... mais pas pour longtemps !
En réalité, Léa est venue pour lui annoncer son mariage imminent et son projet d’achat d’un restaurant avec son futur mari, Fahed, un jeune cuisinier d’origine libanaise. Or ce projet ne verra le jour que si Léa vend sa maison... celle où vit Jacques. Voilà qui contrarie sérieusement les heureuses retrouvailles...
Conflits générationnels, opposition culturelle et confrontation d’ego entre cuisiniers vont faire monter la tension, faisant ressurgir de lourds secrets de famille...
Entre éclats de rire et coups de gueule, Jean-Claude Dreyfus, Julia Duchaussoy et Frédéric Quiring s’étreignent et se déchirent au fil de cette comédie douce-amère.
« Le Chant des Oliviers : une comédie pleine de fraîcheur. » Artistik Rezo
« Cette jolie comédie douce-amère séduit laissant, longtemps après que le rideau se soit baissé, un parfum de bonne humeur et de bien-être qui continue de nous envelopper. » L’œil d’Olivier 15/10/15
« Jolie comédie où l'on rit, s’attendrit avec quelques pincements au cœur. » Théâtre au Vent
« L’ensemble est goûteux, la recette, celle d’un bon théâtre populaire, scrupuleusement exploitée, les ingrédients bien équilibrés, la sauce monte comme il convient. À déguster sans modération à l’heure de l’apéro. » Nicole Bourbon, Reg'Arts
En quelques décennies beaucoup de nos valeurs, de nos repères semblent s’être envolés pour laisser place à un individualisme de plus en plus présent. Où sont passées ces valeurs d’antan, ces sentiments de respect, de considération, de partage, entre autres, qui tenaient unie une famille pour le pire et pour le meilleur ? J’ai grandi dans un restaurant avec un père cuisinier et pour moi il n’y a pas meilleur moment de partage qu’un bon repas. Rien ne pouvait donc plus m’inspirer que ces deux thèmes !
Cette comédie tendre-amère confronte deux générations, deux cultures, deux points de vue sur la cuisine, sur le monde peut-être... ? Entre rire et coups de griffes, chacun de nos protagonistes ressortira grandi... J’aurais pu conclure cette pièce par la magnifique chanson de Jacques Brel... « Quand on a que l’amour à s’offrir en partage... »
Marilyne Bal
Un décor unique : celui d’une cuisine provençale aux tons chauds, laissant deviner à travers la fenêtre un joli petit jardin agrémenté de plantes aromatiques. C’est le cœur de la maison mais c’est aussi celui de Jacques.
Des thèmes actuels et universels : la cuisine est le thème fédérateur par excellence. Rassembleur, synonyme de partage, il nous concerne tous parce qu’il raconte notre patrimoine culturel et identitaire. Mais il met aussi en évidence nos différences, et c’est bien le thème de la pièce. Loin des clichés, cette comédie à la fois tendre et piquante traite avec finesse et humour de la difficulté de devenir « soi ». Les attaches du passé et les secrets de famille empêchent parfois de mener sa vie en toute liberté.
La confrontation de deux générations va ainsi secouer notre paisible cuisine provençale. Conflits d’intérêts, de traditions, peur du changement... Nos trois protagonistes vont apprendre ensemble à se délester de leurs craintes pour ne garder que le meilleur : les valeurs essentielles qui les unissent au service d’un avenir heureux.
Des personnages passionnés à l’aube d’une vie nouvelle : le temps d’un week-end, les trois protagonistes dotés d’un humour salé, ne mâcheront pas leurs mots et n’hésiteront pas à s’affronter avec pertinence et drôlerie. Mais c’est avant tout l’amour qui va se décliner le temps de ce week-end.
L’amour de la cuisine traditionnelle « à la française » incarné par le personnage de Jacques, loup solitaire, ancien restaurateur au caractère bien trempé, pétri d’amour et de regrets. Il vit depuis sa retraite dans la dépendance de la maison des parents tragiquement disparus de Léa dont il est le parrain.
Léa, jeune femme pleine de vie, devenue psychanalyste « pour faire plaisir à ses parents », a décidé de changer de vie. Portée par le coup de foudre pour un jeune cuisinier talentueux et ambitieux, elle veut ouvrir un restaurant avec Fahed. Mais pour ça, il faut vendre la maison familiale et donc « se débarrasser » de Jacques...
Fahed, le nouveau venu, est celui qui va tout faire basculer. Féru de cuisine moléculaire, il va apporter un nouveau souffle. Véritable élément déclencheur, sa différence, son ambition et son amour pour Léa vont permettre à chacun de trouver une nouvelle place dans « cette cuisine traditionnelle ».
J’ai le désir d’élaborer une « cuisine émotionnelle », gourmande, vive, précise et poétique tout en soignant la complexité des rapports entre les personnages. Faire vivre ce trio haut en couleurs, qui saura se réunir harmonieusement à l’abri des oliviers...
Anne Bouvier
N'était la prestation de Jean-Claude Dreyfus dont on se demande comment il a prête son talent à cette comédie de boulevard , cette pièce ne vaudrait même pas le déplacement tant le texte est pauvre et certaines situations demeurent inexploitées ! On se demande par exemple pourquoi l'auteure a fait l'économie d'une scène entre le "parrain" et les rosbifs ... Et tant d'autres choses . Bref à éviter .
jolie pièce très bien jouée : J Claude Dreyfus remarquable
Agréable, dommage que cela manque un peu de souffle
Cette très jolie histoire de famille nous est admirablement jouée tout en justesse. La progression de l'émotion et les valeurs nobles qui habitent les personnages traversent le spectacle comme dans un conte.
Pour 5 Notes
N'était la prestation de Jean-Claude Dreyfus dont on se demande comment il a prête son talent à cette comédie de boulevard , cette pièce ne vaudrait même pas le déplacement tant le texte est pauvre et certaines situations demeurent inexploitées ! On se demande par exemple pourquoi l'auteure a fait l'économie d'une scène entre le "parrain" et les rosbifs ... Et tant d'autres choses . Bref à éviter .
jolie pièce très bien jouée : J Claude Dreyfus remarquable
Agréable, dommage que cela manque un peu de souffle
Cette très jolie histoire de famille nous est admirablement jouée tout en justesse. La progression de l'émotion et les valeurs nobles qui habitent les personnages traversent le spectacle comme dans un conte.
Ce mas Provençal vous fait vibrer , ivre de plaisir avec ce texte tout droit sorti des délicats refrains de Marilyne Bal et une interprétation de rêve avec J.C Dreyfus entouré de Julia Duchaussoy et Frédéric Quiring .Ce "chant des oliviers " est une véritable invitation .....initiation!.....au bonheur et les spectateurs ressortent du Splendid avec le sourire et une petite larme de tendresse au coin de l'oeil , car c'est une comédie qui ouvre les coeurs et sait attendrir . Un spectacle généreux!
48, rue du Faubourg Saint Martin 75010 Paris