Les mioches

• Les langues se délient
  

Enfin les langues se délient ! Enfin des mères dépassées par leur rôle disent tout haut ce que depuis des décennies elles pensent tout bas ! Enfin elles prennent la parole et là, accrochez-vous, elles balancent ... tout !

Sans censure, sans tabou, elles dévoilent en toute liberté les dessous de " ce qui peut vous arriver de plus beau dans la vie " ...mais de plus terrible aussi : Les Mioches !

Trois comédiennes hautes en couleurs, endossant tous les rôles, de la mère à la fillette en passant par celui du père, interprètent une succession de dix tranches de vie sur les relations « parents-enfants dans tous leurs états », dans lesquelles chacun de nous saura reconnaître des vérités pas très bonnes à dire, mais toujours bonnes à rire, croquées avec une délicieuse cruauté.

Ce n'est pas parce que ce sont nos mômes qu'on doit les aimer !

Distribution en alternance.

• Les médias en parlent

« Audacieux, drôle et plaisant. Vous êtes un homme ? Vous aimerez ces comédiennes et leurs regards sur leurs vies de femmes. Vous êtes une femme ? Alors cette pièce est un joli miroir qui vous fera réfléchir sur votre quotidien sans jamais être « féministe » . » Marc Choquet – chroniqueur Chérie FM

« Spectacle enjoué, drôle et très pertinent sur nos conditions parentales. Merci pour ce bon moment. » Stéphane Massart, chargé de programmes France 3

• Note d'intention de l'auteur

Passionnée de théâtre dès mon plus jeune âge, j’ai intégré le cours Florent puis le cours de Brigitte Caracache.

En parallèle, j’ai poursuivis ma formation à l’ENS Louis Lumière et mon Master D2A Droit et administration de la communication audiovisuelle à La Sorbonne.

En 2004, je fais mes premiers pas au cinéma dans un long métrage d’Arnaud Viard Clara et moi dans le rôle de Coco, sorti en Juin 2004, avec Julien Boisselier, Julie Gayet, Michel Aumont et Antoine Duléry. Puis j’enchaîne des petits rôles dans des courts métrages mais aussi au théâtre dans les pièces Un vrai bonheur de Didier Caron, mis en scène par Claire Grivat ou encore Le Mal court de Jacques Audiberti, mis en scène par Maxime Péchetaux.

Ma passion pour le théâtre ne me quitte plus. Fascinée depuis toujours par les femmes déjantées, hautes en couleurs et au bord de la crise de nerf du cinéma d’Almodovar, je commence à m’atteler à un projet qui me tient à coeur : ma pièce. Je l’ai pensée et imaginée jusqu’à maturation avec l’envie de créer une pièce de femmes.

Les Mioches c’est donc la concrétisation de cette passion et l’aboutissement d’une envie : mettre les femmes à l’honneur et plus particulièrement les mamans sur un ton politiquement incorrect. Pour la plupart des femmes, l’objectif d’une vie est d’avoir des enfants et finalement lorsqu’elles les ont, elles rêvent de liberté et sautent de joie quand elles les confient aux grands-parents ! Car à l’époque de l’enfant roi, quelle mère n’a pas détesté son enfant au moins une fraction de seconde ? Les Mioches racontent ces tranches de vie où les mamans pètent les plombs parce qu’elles ne savent plus comment gérer leurs enfants chéris. Les Mioches c'est ma vision particulière de l’enfance et, par extension, de l’âge adulte ; des tranches de vie aussi burlesques que sarcastiques qui montrent la distance terrible qui sépare, parfois, les plus grands des plus petits.

D'une aventure personnelle, Les Mioches est devenu une rencontre humaine avec les comédiennes qui m'accompagnent et mon metteur en scène.

Anne Didier