Mathieu Boogaerts a commencé la musique sur un orgue offert à sa mère, puis sur la batterie d'un ami de son père. Il pratique ensuite la basse, la guitare et "les groupes" dans la cave de sa mère où son 1er album, Super est né en 1996, donnant un bon coup d'air frais à la chanson française.
Sortant d'une tournée où il s'est assumé multi-instrumentiste, ce jeune artiste nous propose son 4ème album, composé entre Barcelone et Berlin. Mathieu a passé deux mois à trier, structurer, trouver les mots justes sur ces mélodies captées au dictaphone… Car, s'il est spontané, Mathieu est aussi patient. Il écoute le sens qui naît des sonorités, il épie la forme qui émerge et trouve l'équilibre idéal entre style et propos.
Il nous livre des croquis chantés de sa vie, avoue ses joies, son goût de la solitude, de la pluie, de la neige, des blés et des landes, du Paris de Baisers volés, des colères, des angoisses, de la peur du lien défait... Et c'est une Isabelle, un hôtel, une demoiselle, qui riment avec "Michel". Un album qui livre ses fragilités et offre mieux que du charme... de la vie ! Michel a de l'humour, il est sensuel et généreux. Mathieu est son double, en mieux. Comment dire autrement ?
Chant, guitare, piano : Mathieu Boogaerts
Claviers : Jean-Baptiste Sabiani
Batterie : Fabrice Moreau
Basse : Zaf-Zapha
« Un phénomène, ce Boogaerts, simple et sobre, comme sa musique. Complicité mais minimaliste, comme ses textes. Mélancolique, intriguant. » Campus mag, novembre 2002
« Cette capacité à relier en douceur les points les plus extrêmes de sa sensibilité place une nouvelle fois Mathieu Boogaerts dans un registre où les chanteurs français sont rarement à leur aise. » Les Inrockuptibles, janvier 2003
« On l’aime : pour son coté touchant, poétique, enfantin, son art de plonger ses instruments acoustiques dans une torpeur enchantée. » Elle, mai 2005
« Les nouvelles comptines et complaintes de Mathieu l’espiègle. Il cultive la simplicité : mélodies minimalistes et cristallines, histoires enfantines. » Télérama
« Si Michel déroute à la première écoute, c’est qu’il possède un son qu’on n’a guère l’habitude d’entendre aujourd’hui […] Depuis sa retraite monastique à Barcelone, puis à Berlin, Mathieu Boogaerts, qui écrivait jusqu’à présent en Afrique, restitue cette voix qu’on finit par ne plus percevoir, dans les bruits des radios, des télés et des têtes de gondole. C’est le son du vent, des arbres et des vagues. » Libération
16, place Stalingrad 92150 Suresnes
Navette gratuite Paris - Suresnes : Une navette est mise à votre disposition (dans la limite des places disponibles) pour vous rendre aux représentations du Théâtre.
Départ de cette navette 1h précise avant l’heure de la représentation (ex. : départ à 19h30 pour une représentation à 20h30), avenue Hoche (entre la rue de Tilsitt et la place Charles de Gaulle-Étoile), du côté des numéros pairs. À proximité de la gare Suresnes-Longchamp (Tram 2), la navette peut marquer un arrêt sur le boulevard Henri-Sellier (à l’arrêt des bus 144 et 244 (direction Rueil-Malmaison), 25 minutes environ avant la représentation. Faites signe au chauffeur.
La navette repart pour Paris environ 10 minutes après la fin de la représentation, et dessert, à la demande, l’arrêt Suresnes-Longchamp, jusqu’à son terminus place Charles de Gaulle-Étoile.