Elles se prénomment Jeanne, Mylène, Jakie, Corynne, Graziella, Muriel... J’ai adoré leurs chansons quand j’étais enfant. J’ai puisé dans leurs succès parus entre 1983 et 1988 pour composer ce tour de chant entrecoupé de textes dits.
Accompagné à l’accordéon par Michel Glasko, Mathieu Rosaz aborde ces chansons comme de grands classiques à bousculer, un peu à la manière d’une Juliette Gréco reprenant Sheila, Claude François ou Chantal Goya (Ce qu’elle a fait, oui !)… et dans l’espoir de révéler une certaine profondeur à ces paroles forcément connotées.
« Détestez la mauvaise musique, ne la méprisez pas. Sa place, nulle dans l’histoire de l’art, est immense dans l’histoire sentimentale des sociétés. »
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