Marina Tsvetaïeva nous parle dans ce texte d’une rencontre décisive : celle de Pouchkine, du nom Pouchkine, du poète Pouchkine, de l’oeuvre de Pouchkine qui l'a fait naître en poésie.
Elle fait revivre ainsi la Russie de son enfance. Ce texte est un hommage à la poésie, à ses pouvoirs, ses brûlures, ses quêtes secrètes.
" C’est une incitation, une invitation au voyage en pays pouchkinien et tsvetaïevien, ces contrées si peu connues ici où les stances aux fougueux tétramètres vous dévoilent un coin du mystère de l’âme slave. Avec drôlerie ou les accents du plus fou désespoir. A la russe… " Franck Bortelle, theatrorama.com et culturecie.com, 24 juin 2010
" Antonia Bosco s’empare des mots d’amour et de poésie de Marina Tsvetaïeva et narre la rencontre décisive de la poétesse russe avec l’oeuvre du grand Pouchkine et la brûlure de son chant. [...] Guy Freixe met en scène Antonia Bosco dans cet « hommage à la poésie, à ses pouvoirs, ses brûlures, ses quêtes secrètes » dont la comédienne se fait la passeuse avec la passion qui l’anime toujours. Pour accompagner cette promenade proustienne, Damien Lehman interprète au piano les musiques de Tchaïkovski, Prokofiev, Rachmaninoff et Chostakovitch […] " Catherine Robert, la Terrasse, juin 2010
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