En première partie : Pascal Mary
Mouron en concert
D’où vient Pascal Mary ? De quelque part, du côté de la Normandie… Là où petit, l’on s’ennuie, mais où les mots se cherchent pour mieux rêver d’ailleurs...
« Ce trentenaire se ballade dans les méandres de l’existence, plutôt côté fêlures... pour mieux y puiser la force d’aller de l’avant. Et ça fonctionne : de ce paradoxe, Pascal Mary tire de charmantes ritournelles, dont le côté Jazzy guilleret contraste délicatement avec les inclinations de son âme. » Stéphane Moran, Aden - Le Monde
« Sous l’apparente légèreté, un chant fragile qui va à l’essentiel (...) Le chant tourmenté et touchant d’un garçon obsédé par la fuite du temps... » Valérie Lehoux, Télérama
« ... des chansons sur la vie ordinaire toujours orientées vers la poésie... » Hélène Azera, France-Culture
« La poésie à portée de main et les petits bonheurs de chaque jour, les chansons de Pascal Mary invitent aussi bien à goûter les joies simples que les vagues à l’âme du quotidien (...) Un rendez-vous musical peu ordinaire... » Paris Paname
Il en a fait de la route, le petit clown insolent et mélancolique du Big Bazar… Aujourd’hui Mouron, comme peu d’auteurs-interprètes français, fait aussi une grande carrière outre-Rhin.
Avec au piano : Terry Truck.
« Bien sûr, on essaye toujours de la comparer à Edith Piaf, Zarah Leander, mais Mouron nous envahit de sa propre personnalité. Un cœur courageux, une voix forte et d'énormes sentiments. » Hannoversche Allgemeine Zeitung
« L’adolescente qui faisait le clown dans les années Big Bazar… est devenue une dame de la chanson. » L’Express
« C'est elle la Diva des Divas. Absolut Mouron. Chaque fois qu'elle chantera, il pleuvra des roses rouges. » Süddeutsche Zeitung
« Cette petite personne (…) rejoint par sa gestuelle, ses expressions et toute sa présence les grandes chanteuses françaises telles que Piaf, Gréco ou Barbara. » Weser Kurier Bremen
« Mouron chante comme elle respire. Et comme elle respire ! » Libération, Hélène Hazera
« Une Gavroche à la voix bouleversante, à la dégaine pathétique. Bon Dieu quelle goualante ! » Le Canard enchaîné, Bernard Thomas
« Cette petite bonne femme haute comme trois pommes se transforme sur scène en une véritable bombe, habitant les grands espaces et les grands silences d’une présence et d’une puissance vocales remarquables. » Télérama, Valérie Lehoux
4, rue Monsigny 75002 Paris