Andrea Marcon et la soprano suédoise Johanna Wallroth pour un florilège de son répertoire de prédilection avec des airs de Mozart.
En première partie de concert, une anthologie d’airs où Mozart explore comme nul autre les tréfonds de l’âme humaine.
Beethoven compose sa Symphonie no 7 au moment où Napoléon Ier enchaîne les revers qui conduiront à sa chute : désastre de la campagne de Russie en 1812, défaite à Vitoria (nord de l’Espagne) et à Leipzig en 1813. Cette situation politique motive en partie le caractère jubilatoire de la partition et contribue à son triomphe lors de sa création, le 8 décembre 1813 à Vienne. Dépourvue de mouvement lent, la Symphonie no 7 est fondée sur des rythmes obsessionnels, jusqu’à l’euphorie dans les mouvements rapides. Richard Wagner, qui la désigne comme « l’apothéose de la danse », s’enthousiasmera en ces termes : « C’est la danse à son plus haut degré, le principe même du mouvement corporel incarné dans la musique. »
Mozart Airs
Beethoven Symphonie n° 7 op. 92
15, avenue Montaigne 75008 Paris