Une histoire sans parole, avec sourire et poésie, sur le temps qui passe, l’amour, et ce qu’on en fait.
Papy couine et Mamy grince. Ils ne se parlent plus. Ils râlent.
Leur amour s’est rabougri. Flétri par les bougies qu’ils ne comptent plus depuis belle lurette.
Lorsqu’on leur impose des aides à domicile. Leur refus est catégorique. Mais quand débarquent l’aide-soignante et le kiné, papy croit voir une fée, Mamy un prince charmant.
Un souffle de vent frais soulève la poussière, fait valser les voilages, et réveille leurs sentiments endormis.
Une histoire sans parole, avec sourire et poésie, sur le temps qui passe, l’amour, et ce qu’on en fait.
« Mamy est délicatement, même malicieusement, incarnée par l’épatante Marie-Bénédicte Roy. L’impayable Pierre-Jean Cherer s’est attribué le personnage du coquin et cocasse Papy. C’est assez surprenant de regarder ces deux artistes habitués des mots, des ruptures, des césures de la comédie de boulevard ou du café-théâtre, se mouvoir tout à leur aise dans l’art visuel. » L'oeil d'Olivier
« Un spectacle émouvant, plein de trouvailles scéniques et interprété par quatre magnifiques comédiens. » La SouriScène
C'était la dernière et quelle ambiance!nous avons balancé nos dentiers, fait tourner les déambulateurs...c'était de la folie!...Je plaisante ! quel petit bijou de pièce drôle, tendre,poétique et effroyable à la fois...On y viendra tous qu'on le veuille ou pas...La vieillesse est un naufrage oui mai quand le radeau des souvenirs navigue en pépère pénard...Les comédiens Mamy -Papy sont époustouflants quant aux jeunes ils ont une énergie à revendre et le tout nous ballotte entre rires et larmes.Le décor fait vraiment dans la dentelle!!!les vieux comme ils disent ne rêvent plus,tic tac fait la pendule du temps qui passe mais une étincelle de vie et hop ça repart...tout doux certes mais le coeur se remet à battre comme a 20ans...Une ovation fut faite aux comédiennes et comédiens pour ce moment de tendresse merveilleux.Une pièce parlante ou la parole pourtant s'est envolée, Après avoir vu une autre pièce criante de vérité et qui m'a laissée muette d'admiration:"lights on Chaplin" Papy-Mamy m'a mise en joie!
Ce spectacle, presque muet est criant de vérité... Un couple âgé qui ne se parle plus depuis longtemps, engoncé dans ses douleurs et ses indifférences... les souvenirs, endormis dans un album poussiéreux. Or voici que deux jeunes auxiliaires de vie, faisant irruption dans leur quotidien, vont leur apporter le souffle de l'existence, l'attention, le soutien et la prévenance qu'ils avaient oubliés. Ce cliché qui, parfois, est le quotidien de certains, est un regard de grande justesse, illuminé d'une grande tendresse sous-jacente.
Pour 2 Notes
C'était la dernière et quelle ambiance!nous avons balancé nos dentiers, fait tourner les déambulateurs...c'était de la folie!...Je plaisante ! quel petit bijou de pièce drôle, tendre,poétique et effroyable à la fois...On y viendra tous qu'on le veuille ou pas...La vieillesse est un naufrage oui mai quand le radeau des souvenirs navigue en pépère pénard...Les comédiens Mamy -Papy sont époustouflants quant aux jeunes ils ont une énergie à revendre et le tout nous ballotte entre rires et larmes.Le décor fait vraiment dans la dentelle!!!les vieux comme ils disent ne rêvent plus,tic tac fait la pendule du temps qui passe mais une étincelle de vie et hop ça repart...tout doux certes mais le coeur se remet à battre comme a 20ans...Une ovation fut faite aux comédiennes et comédiens pour ce moment de tendresse merveilleux.Une pièce parlante ou la parole pourtant s'est envolée, Après avoir vu une autre pièce criante de vérité et qui m'a laissée muette d'admiration:"lights on Chaplin" Papy-Mamy m'a mise en joie!
Ce spectacle, presque muet est criant de vérité... Un couple âgé qui ne se parle plus depuis longtemps, engoncé dans ses douleurs et ses indifférences... les souvenirs, endormis dans un album poussiéreux. Or voici que deux jeunes auxiliaires de vie, faisant irruption dans leur quotidien, vont leur apporter le souffle de l'existence, l'attention, le soutien et la prévenance qu'ils avaient oubliés. Ce cliché qui, parfois, est le quotidien de certains, est un regard de grande justesse, illuminé d'une grande tendresse sous-jacente.
53, rue des Saules 75018 Paris