Auteur, compositeur, interprète de plus de 80 chansons, Philippe Brami est l’un de ses rares et (re) nouveaux vrais artistes capables de défendre son métier sur scène. Après sa 1ère scène parisienne en 1993 au Théâtre Trévise, suivie quelques années plus tard d’un passage au Réservoir, l’année 2003 permet à Philippe de composer l’une des chansons et de tenir l’un des huit rôles principaux du grand spectacle de Muriel Hermine, Freedom Opéra Gospel durant plus de 100 représentations au Cirque d’Hiver Bouglione. La sortie en 2004 de son 1er album est l’aboutissement de sa déjà longue route de chanteur.
Après avoir voulu dès l’âge de 2ans et demi se lancer chez Barclay du 6ème étage de l’appartement familial, il ne doit d’être encore parmi nous aujourd’hui grâce à la présence d’esprit de sa maman qui l’a rattrapé juste à temps, Philippe a grandi sur les chansons de Hugues Auffray. Première vrai idole, il se tourne très vite et pour longtemps vers celui qui jalonnera son adolescence et deviendra sa référence, Michel Sardou. Puis vient le coup de foudre pour celui qu’il considère encore aujourd’hui comme le plus grand, Daniel Balavoine. Un autre viendra le remplacer tant bien que mal dans son cœur et dans ses inspirations, Jean-Jacques Goldman.
Quels points communs entre ces quatre immenses artistes de la chanson française ? Ils sont tous les quatre auteur-compositeur-interprète, ils savent tous composer des mélodies inoubliables, ils parlent au cœur d’un public populaire au sens noble du terme et leurs chansons resteront gravées dans la mémoire collective. Difficile pour Philippe d’exister par lui-même, influencé par tant de talent.
C’est sans doute pour cela, qu’avec beaucoup d’humilité, de rage au ventre et d’opiniâtreté il a dû attendre si longtemps pour faire entendre ses chansons, mélange de toutes ces influences, chanter l’espoir d’un Hugues Auffray, écrire des textes vrais et habités comme Balavoine, composer des mélodies « tubesques » reconnaissables dès les premières mesures à la manière d’un Jean-jacques Goldman et attraper le public sur scène comme Michel Sardou. Avec tant de force, de vérité et de courage pour affronter ses illustres aînés, souhaitons lui juste d’exister enfin aujourd’hui.
je suis reste eblouis par le talent de cet artiste lors de son premier concert le mois dernier. Rien a voir avec les influences enonces. Je suis pret a parier qu'il ne restera pas longtemps dans la petite salle du sentier des halles.
Avec des influences pareilles, ça donne surtout envie de partir en courant!
je suis reste eblouis par le talent de cet artiste lors de son premier concert le mois dernier. Rien a voir avec les influences enonces. Je suis pret a parier qu'il ne restera pas longtemps dans la petite salle du sentier des halles.
Avec des influences pareilles, ça donne surtout envie de partir en courant!
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