L’écrivaine Ingrid Astier lâche ses romans noirs et s’attaque à la nuit, compose un bréviaire, abécédaire des charmes nocturnes. L’auteur et metteur en scène Gérald Garutti fréquente à Londres les nuits envoûtantes de Shakespeare, Dostoïevski, Edgar Poe, Jamie Cullum. À partir de ce dictionnaire amoureux, il construit un chemin de mots, un écrin à l’acteur Pierre Richard. Il dévoile une autre face de ce Pierrot lunaire, par une échappée imaginaire où scintille la lumière, sculptée par les créateurs Éric Soyer et Renaud Rubiano.
C’est un monde fantastique qui s’ouvre, peuplé de démons et de merveilles ; un voyage à l’orée de la nuit. La présence vivante du comédien funambule s’inscrit au cœur du film réalisé par Pierre-Henri Gibert pour le spectacle. Y surgit la grâce féminine d’une danseuse, corps céleste, émouvant et mouvant, Marie-Agnès Gillot, étoile de l’Opéra de Paris, sur des musiques inédites de Laurent Petitgand.
« Petit éloge de la nuit d’Ingrid Astier est l’aventure d’une rêverie, une échappée belle aux teintes de Magritte, une ode à la beauté nocturne. Gérald Garutti agrippe cette main généreuse tendue à tout ce qui en nous déraisonne le jour et résonne la nuit, et invite sur scène les royaumes intérieurs et leurs constellations. » Télérama Sortir
« Au long d'une déambulation délicatement orchestrée par Gérald Garutti, le comédien Pierre Richard se repaît avec aisance et gourmandise des charmes d'aventures nocturnes, plus poétiques que celles des jours.» Les Echos
« Avec une sensualité brumeuse, il [Pierre Richard] nous fait plonger dans les labyrinthes de l'obscurité, des rêves nocturnes et du sommeil, alors que, derrière lui, une danseuse exécute un ballet délicat sous une pluie d'étoiles. » L'Obs - François Forestier, 12 avril 2017
« Pierre Richard illumine la scène dans Petit Éloge de la nuit. Seul-en-scène intimiste, entre rêverie et poésie, teinté de burlesque. Il y est sublime. »
Le Parisien - Sylvain Merle, 12 avril 2017
Petit éloge de la nuit est l’aventure d’une rêverie au sourire de lune. Une échappée belle aux teintes de Magritte, une ode à la beauté nocturne. Une main généreuse tendue à tout ce qui en nous déraisonne le jour et résonne la nuit, une invitation au royaume du for intérieur et des constellations infinies. Une parole intime traversée de polyphonie joyeuse, une délicatesse sincère épanouie en fraternité radieuse. Une innocence désarmante scintillant d’humanité savoureuse, un regard amusé où pétille la tendresse, où nous charme la vie. Interprète du spectacle, Pierre Richard a débuté au théâtre avec Vilar et assuré les premières parties de Brassens. Il est vite devenu un acteur solaire, distraction hissée au rang de poème, dans ses films comme Le Distrait, Le Jouet, Le Grand Blond , Les Compères.
Il s’aventure ici dans un nouveau monde, une terre inconnue : la nuit, ses impasses à noctambules et à chats gris. Effleurer les étoffes de la nuit, ses fantasmes, son humour. Ses versants érotiques, cosmiques, cauchemardesques. Ses fantômes, Nerval, Bashung, Baudelaire. L’écrivaine Ingrid Astier lâche ses romans noirs et s’attaque à la nuit, compose un bréviaire, abécédaire des charmes nocturnes. L’auteur et metteur en scène Gérald Garutti fréquente à Londres les nuits envoûtantes de Shakespeare, Dostoïevski, Edgar Poe, Jamie Cullum.
À partir de ce dictionnaire amoureux, il construit un chemin de mots, un écrin à l’acteur Pierre Richard. Il dévoile une autre face de ce Pierrot lunaire, par une échappée imaginaire où scintille la lumière, sculptée par les créateurs Éric Soyer et Renaud Rubiano. C’est un monde fantastique qui s’ouvre, peuplé de démons et de merveilles ; un voyage à l’orée de la nuit. La présence vivante du comédien funambule s’inscrit au cœur du film réalisé par Pierre-Henri Gibert pour le spectacle. Y surgit la grâce féminine d’une danseuse, corps céleste, émouvant et mouvant, Marie-Agnès Gillot, étoile de l’Opéra de Paris, sur des musiques inédites de Laurent Petitgand, compositeur de Wim Wenders (Les ailes du désir, Le sel de la terre).
La nuit nous parle, elle nous étreint, nous égare, nous éclaire, nous ravit. Dans le scintillement du soir, Pierre Richard nous dit sa nuit : « Souvent je me demande qui je suis . Je suis à moi même ma propre nuit . » Aussi malicieux qu’innocent, conteur ancestral et regard d’enfant, il embrasse les espaces merveilleux qu’ouvre l’imaginaire nocturne, de la passion à la poésie, du désir à la folie, du mystère à la fantaisie, du silence à la fête, de l’intime à l’infini. Du vaste spectre de la nuit, il explore les arc-en-ciel du noir déployés en savoureux contrastes. Dans un grand éclat de rire, ce génie comique qu’est Pierre Richard nous révèle ici sa face cachée à travers une poétique impertinente et contemplative, gourmande et sublime. Ainsi se joue cette invitation au voyage nocturne, ponctué de ciels perlés et d’échappées visuelles, ouvertures vers cet infini de la nuit qui, par essence, nous fascine.
Gérald Garutti
Ce spectacle est très poétique. Pierre Richard incarne chaleureusement cette poésie.
Heureusement le metteur en scène a fait un excellent travail plein d'imagination, d'imprévu, il nous fait rêver en passant d'une série de petits films à des projections surréalistes et, comme le texte de Pierre Richard, il nous surprend. Ce n'est pas un grand texte mais cette heure passe vite. J'ajoute que Pierre Richard n'articule pas très bien mais il est tellement sympathique.
Seul en scène, Pierre Richard nous emmène avec lui dans sa nuit étoilée : drôle, hyper émouvant !
Un catalogue de citations et des saynetes entrecoupées de clips vidéo montrant p.ex une femme allant vers le neant ou Pierre Astier dans une posture de barde celtique .Ce n'est pas vraiment convainquant et tout ça ne fait pas un spectacle inoubliable. Dommage. J'étais parti pour une petite ' éloge de la nuit' et j'en reviens déçu de ce bric à brac décousu.
Pour 6 Notes
Ce spectacle est très poétique. Pierre Richard incarne chaleureusement cette poésie.
Heureusement le metteur en scène a fait un excellent travail plein d'imagination, d'imprévu, il nous fait rêver en passant d'une série de petits films à des projections surréalistes et, comme le texte de Pierre Richard, il nous surprend. Ce n'est pas un grand texte mais cette heure passe vite. J'ajoute que Pierre Richard n'articule pas très bien mais il est tellement sympathique.
Seul en scène, Pierre Richard nous emmène avec lui dans sa nuit étoilée : drôle, hyper émouvant !
Un catalogue de citations et des saynetes entrecoupées de clips vidéo montrant p.ex une femme allant vers le neant ou Pierre Astier dans une posture de barde celtique .Ce n'est pas vraiment convainquant et tout ça ne fait pas un spectacle inoubliable. Dommage. J'étais parti pour une petite ' éloge de la nuit' et j'en reviens déçu de ce bric à brac décousu.
Pierre RICHARD parvient à faire oublier le grand blond tout en jouant de la complicité avec son public : émouvant, poétique, ... merci !
Touchant, burlesque, poétique !!
16, place Stalingrad 92150 Suresnes
Navette gratuite Paris - Suresnes : Une navette est mise à votre disposition (dans la limite des places disponibles) pour vous rendre aux représentations du Théâtre.
Départ de cette navette 1h précise avant l’heure de la représentation (ex. : départ à 19h30 pour une représentation à 20h30), avenue Hoche (entre la rue de Tilsitt et la place Charles de Gaulle-Étoile), du côté des numéros pairs. À proximité de la gare Suresnes-Longchamp (Tram 2), la navette peut marquer un arrêt sur le boulevard Henri-Sellier (à l’arrêt des bus 144 et 244 (direction Rueil-Malmaison), 25 minutes environ avant la représentation. Faites signe au chauffeur.
La navette repart pour Paris environ 10 minutes après la fin de la représentation, et dessert, à la demande, l’arrêt Suresnes-Longchamp, jusqu’à son terminus place Charles de Gaulle-Étoile.