Chanter, fredonner au réveil, au coucher, les chansons de Barbara qui ont rempli notre adolescence.
De lune ou de velours noir chaque chanson d’elle se prolonge en nous sur les chemins de Nantes ou de Gottingen et son cri déchire le silence. La vie émouvante de Barbara, cette fêlure liée aux éléments dramatiques de son enfance, ces voyages, ces fuites mais aussi sa vérité livrée sur scène et sur scène seulement.
C’est cette histoire que nous voulons retracer. Celle de Barbara, Monique Serf, qui se voulait pianiste-chantante formée à l’école du chant au conservatoire de paris, elle qui a croisé les plus grands de la chanson française comme Brassens, Brel ou Prévert.
« Très beau spectacle dont on ne sort pas indemne, même si le fantôme de Barbara (...) plane sur ce spectacle et lui donne peut-être un peu de sa magie. » L'Obs
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