Nelson Goerner pour un voyage au cœur du romantisme de Schumann à Liszt.
Nelson Goerner est un esthète aux doigts de virtuose. Le pianiste argentin au tempérament plutôt discret, convoque des horizons musicaux bien différents.
Après une chaconne de Haendel, place au Davidsbündlertänze, une suite de 18 pièces pour piano où l’on retrouve toutes les ambitions musicales et poétiques du compositeur et le tendre souvenir de l’être aimé, Clara Wieck.
Changement de registre avec Rachmaninov et ses préludes de l’opus 23 et 32 avant la fantaisie orientale Islamey de Balakirev. De par ses exigences techniques, que même son créateur Nicolaï Rubinstein reconnaissait volontiers, cette pièce a longtemps été considérée (et encore aujourd'hui) comme l'une des plus difficiles à exécuter.
Haendel Chaconne HWV 435
Schumann Davidsbündlertänze op. 6
- Entracte
Liszt Ballade n° 2 S. 171, Sonnet de Pétrarque n° 104 S. 161 (extrait Livre II Les années de pélerinage), Valse oubliée n° 2 S. 2015, Rhapsodie hongroise n° 6 S. 244
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