Alors que l'accordéon semblait n'avoir jamais vraiment connu de soliste majeur et que, par les connotations qui l'entourent, il paraissait irrémédiablement éloigné du swing, Richard Galliano est parvenu à imposer l'idée que son instrument était digne de figurer aux côtés des saxophones et trompettes qui sont au coeur de la musique de jazz.
Inspiré par son admiration pour son ami Astor Piazzolla, inventeur du « Tango Nuevo », l'accordéoniste a réussi, en outre, avec son « new musette », à revitaliser une tradition bien française qui semblait ne jamais devoir connaître de renouveau.
J. S Bach : Concerto pour violon et hautbois (tr. pour violoncelle et accordéon)
A. Piazzolla : Le grand Tango, pour violoncelle et orchestre à cordes (tr. pour violoncelle et orchestre)
R. Galliano : Opale Concerto, pour accordéon et orchestre
L. Boccherini : Symphonie en ré mineur, « La casa del Diavolo »
R. Galliano : Contrastes, pour accordéon, violoncelle et orchestre / Création mondiale
1, place du Châtelet 75001 Paris