A partir de 14 ans.
Dans la cour d'école, Jonathan embrasse Latifa : « deux êtres en équilibre au bord du monde ». C'est un coup de foudre qui bouleverse les témoins de la scène – les filles, les garçons, les profs, le directeur et même la vieille voisine de 80 ans qui voit tout de sa fenêtre – une passion qui, telle une éclipse observée à l'oeil nu, les éblouit et brûle leurs regards.
Au croisement du clip et de l'oratorio, cette partition lumineuse mêle poésie, danse, musique, sampling vocal, pour raviver en chacun la flamme et l’émoi du premier amour. S’embrasent rappelle que le désir est possible... à tout âge !
" Ce qui m’intéresse avant tout dans l’émoi amoureux, c’est l’envahissement des sens, des corps, c’est l’énergie qui circule entre les êtres et qui agit forcément sur l’équilibre intérieur des personnes. En s’embrasant, les deux adolescents accèdent à une autre dimension, se révèlent à eux-mêmes. " Luc Tartar
" Un lumineux coup de foudre. Éric Jean nous livre ici une de ses mises en scène les plus inspirées. Il a choisi d’inscrire bien concrètement le spectacle dans le corps de ses acteurs. Il a d’abord fait en sorte que l’on entende clairement le remarquable texte du dramaturge français Luc Tartar, d’une poésie et d’une justesse absolue. Il fait aussi bouger constamment ses jeunes interprètes, parfois dans de véritables chorégraphies collectives, son et lumière, mais toujours tellement vivement que jamais l’intérêt de la salle ne diminue. [...] " Le Devoir - Michel Bélair
" Deux êtres qui s'embrassent et c’est le monde qui vacille... L’estime de soi, la réputation, les premières expériences, l’abandon… les ados se confrontent à tout, et le monde adulte est tout aussi excitant qu’effrayant. Et ces deux amants que l’on ne verra jamais s’impriment pourtant dans notre esprit, tant la puissance des mots et l’embrasement des témoins nous sont, à nous aussi, fatals. " Monthéâtre.qc.ca – David Lefebvre
" Fantastique communion générationelle. S'embrasent est une oeuvre faisant définitivement partie de ces cadeaux que parfois nous accorde la vie. Profond, beau, authentique, et porteur d'un de ces points tournants, un de ces morceau de vie peuplant, tel le Rosebud de Kane, le défilement des ultimes moments de réminiscences de tous les mortels humains. Un beau voyage de poésie et d’humanité, profondément lucide et intelligent, certainement à voir ! " Le Quatrième – Yves Rousseau
23 rue de Bourgogne 69009 Lyon