Dans son solo dansé, Léa Darrault se love dans des variations de lumières, d’humeurs et de sons pour (re)trouver la fragile frontière entre l’état d’enfance, instinctif, et celui de l’adulte, réfléchi.
Dans son solo dansé, Léa Darrault se love dans des variations de lumières, d’humeurs et de sons pour (re)trouver la fragile frontière entre l’état d’enfance, instinctif, et celui de l’adulte, réfléchi, inhibé. Dans ce cheminement, les spectateurs sont invités à apprivoiser leurs émotions pour apprendre à lâcher prise et à inventer. A partir de 5 ans.
Et si on ouvrait un album photo ? Si on y recueillait des images fulgurantes ? Si on imaginait un monde où la neige serait rouge ? Si on écoutait parler la danse ? La pénombre enveloppe l’espace scénique, laissant passer, pour sculpter le corps en mouvement, ici le halo d’un réverbère, là l’éclair d’une luciole virevoltante.
Du vert onirique à la suspension du noir, du bleu du souffle au rouge offensif, le corps explore toute une palette de couleurs : il s’élève, dérive, se resserre, résiste et s’équilibre.
Dans son solo, Léa Darrault se love dans des variations de lumières, d’humeurs et de sons pour (re)trouver la fragile frontière entre l’état d’enfance, instinctif, et celui de l’adulte, réfléchi, inhibé. Dans ce cheminement, les spectateurs sont invités à apprivoiser leurs émotions pour apprendre à lâcher prise et à inventer.