Soirée coup de cœur : Gustave Parking

Paris 4e
le 18 septembre 2001

Soirée coup de cœur : Gustave Parking

Soirée en deux parties avec en première partie Le zèbre à pois et en deuxième partie Gustave Parking

  
Le Zèbre à Pois
Gustave Parking
Presse de Gustave Parking

D'autenthiques descendants des charlatans du XIX ème siècle, ils rassemblent au coeur de leur spectacle tous les éclats des vendeurs d'élixir de la félicité, pour être tour à tour artistes de cabaret, de cirque et de rue. Sont-ils marionnettistes, magiciens, fantaisistes ou poètes ?

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« Un chevalier des temps recyclés, coiffe d'une poubelle et vêtu d'une nappe, caracole entre les sièges... Gustave Parking revient jouer les pitres, dans la plus pure tradition des clowns-bateleurs. » Jeune à Paris

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« Un chevalier des temps recyclés, coiffe d'une poubelle et vêtu d'une nappe, caracole entre les sièges... Gustave Parking revient jouer les pitres, dans la plus pure tradition des clowns-bateleurs. La scène est transformée en caverne d'Ali-Baba et ce lunaire qui n'a jamais atterri se fait magicien, apprenti-chimiste ou escargot. Gags visuels à gogo et digressions poétiques peuplent le petit monde de Gustave. L'échange s'installe naturellement entre l'artiste et son public, cible de balle géante ou enrôlé sur scène pour un opéra désopilant. » Jeune à Paris

« Le meilleur du Printemps du rire est derrière nous. Depuis que Gustave Parking a salué, mercredi, au théâtre des Mazades son public avant de s'en répartir pour Paris avec, dans sa valise, tout ce qu'il nous fallait pour rigoler encore des siècles.
Bougre de blagueur, clown désopilant, faiseur d'instant immortels, d'images vivantes et tordantes. Car ici, pas d'humour tarte a la crème, pas d'imitation convenue.
Dans la maison Gustave, on va chercher le drôle, la, où il sommeillait depuis des lustres.Dans une botte de poireaux, un artichaut, une piscine gonflable transformée en carapace d'escargot...
Le père Gustave détourne un ventilateur, un ballon, un escabeau, un mot, une expression avec la même agilité, le même bonheur que d'autres détournent des fonds. Car son fond de commerce à lui, c'est l'enfance et son univers; un monde au rendez-vous de la magie, du déguisement, de l'acrobatie, du farfelu, et autres immortels ressorts de l'imagination.
De cette orgie de bonne humeur et de trouvailles, assortie de bons mots, et de quelques flèches acerbes à l'attention des racistes des chasseurs et autres politiques véreux, le spectateur ressort aussi émerveillé que regonfle.Certain que le monde manque de Parking et que les Parkings de tous poils manquent encore trop d'échos médiatiques.
Lui, pénard, hilare, semble s'en moquer. Il a son public qu'il manipule comme une marionnette, ses blagues "pipi -zizi" mais jamais cradingues, sa valise a malice, ses histoires de jardinier, amoureux de tondeuses et de nains de jardins, ses réflexions douces et piquantes sur lesquelles il nous laisse réfléchir en riant...
A la fin du spectacle, l'homme se pointe dans la salle, serre quelques louches, demande comment c'était et signe a n'en plus finir, toutes griffes rentrées, des autographes personnalisés à un groupe de jeunes handicapés légers venus l'applaudir chaudement.car la maison Parking ne se contente pas d'être géniale.Elle est aussi humaine. » C.G., La Dépêche du Midi

« Bateleur moderne, philosophe et délirant Gustave Parking investit la scène du Théâtre Trévise avec un nouveau spectacle tout aussi étonnant que les précédents.Un mélange jubilatoire de poésie, tendresse, imagination débordante et humour débridé. » Paris le Journal

« Conjuguant trouvailles visuelles et bons mots, Gustave Parking, dont le dernier délire sort en vidéo, s'offre en spectacle au Casino de Paris.
"Je ne suis pas un artiste engagé. Parfois, je m'engage. Parfois, je me dégage. Adepte du va-et-vient, je suis un artiste qui fait l'amour à son public". Content de sa trouvaille, Gustave Parking sourit. Qui sème l'humour, récolte le succès. Initiateur du prix d'entrée symbolique et de la sortie payante - dix balles l' entrée, dix mille à la sortie l'ancien artiste de rue, rompu à l'apostrophe sur le goudron et aux jongleries sur le bitume a fini par réussir. .. et échouer sur scène. Cultivant avec délectation un attachement pour les objets hétéroclites et déglingués qu'il détourne, Gustave, né Pierre Le Bras voici quarante-deux ans, est un inclassable comique. Il bataille parfois ferme avec Flo, sa compagne artiste peintre et sculpteur, pour s'approprier un vieux bout de ferraille. Flirtant sans répit entre la fantasmagorie tordante et le surréalisme tordu, Parking n'a pas son égal pour recréer un atoll perdu dans le Pacifique: trois poireaux pour les cocotiers, un bras plus long pour le scientifique... Ancien militant écolo, même s'il avoue "n'avoir jamais été encarté dans un groupe" il défend avec tendresse notre bonne vieille Terre saccagée plus qu'a son tour.
" Il y a quelques années, précise-t'il j'ai mené un combat auprès de la mairie du Pré-Saint-Gervais où j'habite. On a pu sauver des arbres cinquantenaires, instaurer des bennes pour le tri des déchets domestiques. Bref, on s'est bien battu et maintenant à la mairie, l'environnement est devenu un sujet prioritaire." Enrôlé tous les jours dans Tous aux abris, le rendez-vous quotidien de Claude Villers sur France-Inter, Gustave passe des heures plongé dans les aphorismes et les maximes célèbres à la recherche d'un bon mot parce que, dit-il : "J'ai envie de donner ce qu'il y a de meilleur, de trouver les phrases les plus intelligentes et les plus drôles". Pendant deux semaines en avril, il va prendre en otage le public au Casino de Paris avec un nouveau spectacle, rôdé quatre semaines chez nos voisins bruxellois.
Une nouvelle aventure qui tombe a pic avec la sortie en vidéo de son dernier spectacle, entièrement "remonté" et garanti "100 % famille et 100 % rire" . Nouant des relations solides avec le public, Gustave prend en effet un malin plaisir chaque représentation à designer à la vindicte générale l'anonyme qui fera se gausser la salle. Cette relation inédite avec les gens, Gustave Parking la cultive avec tendresse: "J'ai toujours eu besoin d'aller vers les autres. J'ai beaucoup souffert dans ma vie et cette relation affective avec le public m'est indispensable. A la fin de chaque spectacle, je me sens vidé. Mais cela m'est égal pour être heureux, j'ai besoin de deux trucs : le public et ma femme " Christine Charrier, France 2

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Christophe Guybet dans "Pourquoi pas ce  soir"

Mise en scène Isabelle Legueulier

Il y a des situations très embarrassantes qu'habituellement on préfère garder pour soi : les Chippendales huilés, les séances d'épilation pour hommes, les tentatives de saut à l'élastique traumatisantes. Christophe Guybet, lui, en véritable chevalier des temps modernes a choisi de vous en parler...au risque de vous faire rire.

Les Amis de Monsieur dans "la Nuits des Reines ou comment Henri III a viré sa cuti".

de Michel Heim.

Ingrid rimbeau, Franck Isoart, Renato Nasi, Vincent Goupy, Michel Heim.

mes : Jean-Pierre Rouvellat.

La reine Margot, Henri III, Catherine de Médicis, le Duc de Buckingham et Elizabeth Ière d'Angleterre réunis pour une folle nuit, dans une histoire plus vraie que la vraie et en tous cas beaucoup plus drôle!

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Informations pratiques

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7, rue Sainte Croix de la Bretonnerie 75004 Paris

Accès handicapé (sous conditions) Lieu intimiste Marais
  • Métro : Hôtel de Ville à 355 m
  • Bus : Rue Vieille du Temple - Mairie du 4e à 159 m, Rue Vieille du Temple à 162 m, La Verrerie à 168 m, Hôtel de Ville à 304 m, Centre Georges Pompidou à 387 m
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Plan d’accès

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7, rue Sainte Croix de la Bretonnerie 75004 Paris
Spectacle terminé depuis le mardi 18 septembre 2001

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