Solitaire Théâtre /Vuota dismisura /Courants, ponts, courants

du 3 au 6 mai 2007

Solitaire Théâtre /Vuota dismisura /Courants, ponts, courants

3 pièces de danse, ou solos, par la cie Silenda. Chaque pièce est une quête qui permet de s'introduire dans quelque chose, se rapprocher de ce que notre pensée nous dit de l'intérieur.

Chaque pièce est une quête qui permet de s'introduire dans quelque chose, se rapprocher de ce que notre pensée nous dit de l'intérieur.

« Solitaire Théâtre »
C'est une figure indéfinie, fantomatique, une sorte d'animal, de danseuse-singe qui évolue dans un univers de rêve. Une relation avec une autre figure étrange et mystérieuse s'insinue. Ce travail explore la relation qui existe entre l'espace et une condition extrême comme une force qui envahit le corps dansant. Un prélude au cri, un son projeté au-delà du corps. C'est un hommage à une époque, les années 80. Une expérience proche de J. Beuys : “ma sculpture n'est ni fixe, ni finie. Il y a dedans du changement qui continue; réactions chimiques, fermentations, variations de couleurs, détérioration. Tout est en état de changement. et encore, je me nourris en gaspillant mon énergie."

Chorégraphie et interprétation : Laura Simi

« Vuota dismisura »
Chaque pièce est une quête, c'est s'introduire dans quelque chose, se rapprocher de ce que notre pensée nous dit de l'intérieur. Ce solo est une ballade entre une culture passée (les premières images du corps humain en mouvement de Marey ont toujours quelque chose de troublant) et une d’actualité. C'est la rencontre entre une esthétique ancienne et contemporaine dans et au travers de la danse, la musique et le cinéma, qui donne la sensibilité de cette pièce.

Chorégraphie et vidéo : Damiano Foà

« Courants, ponts, courants… » Création 2006 - Extrait
C'est une continuation du solo Vuota dismisura. Un questionnement sur la scène dans le temps. Des ponts possibles entre passé et présent, un va et vient constant entre l'image, la danse, la musique et le spectateur. Volumes corporels toujours en évolution et en relation avec la ville et ses pulsations.

« Il y a tout d'abord le problème de l'ouverture, c'est à dire comment nous faire passer d'où nous sommes, c'est à dire en ce moment nulle part, jusqu'à l'autre rive. C'est une simple affaire de pont, il s'agit de bricoler un pont, ni plus ni moins... » J.M.Coetzee

Chorégraphie, conception et interprétation : Laura Simi et Damiano Foà

Par la Cie Silenda.

La matinée du vendredi 4 mai à 15h, les deux compagnies (Silenda et Pas Ta Trace) présenteront un spectacle commun.

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Studio Le Regard du Cygne

210, rue de Belleville 75020 Paris

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  • Bus : Pixérécourt à 39 m, Place des Fêtes à 271 m
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Studio Le Regard du Cygne
210, rue de Belleville 75020 Paris
Spectacle terminé depuis le dimanche 6 mai 2007

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