Pour son troisième one man show, Stan conserve sa griffe : l'humour de l'art ponctué de poésie.
En chacun de nous il y a un trésor. Comme tout trésor il est bien caché, sinon ce n'est plus un trésor. Stan part à la conquête de sa propre liberté et trace sa route, en faisant sauter tous les obstacles.
Il a commencé comme vendeur aux Galeries Lafayette, il s'est fait licencier et c'est ce qu'il considère aujourd'hui comme sa première chance. Ce qui bouillonnait en lui a trouvé sa place dans le seul endroit où rien ne se perd et tout se transforme, où tout ce qui nous plombe devient de l'or : une scène de théâtre.
Stan a reçu plus de vingt prix dans des festivals. On a pu le voir au cinéma et à la télévision dans Le débarcadère des anges de Brigitte Roüan, Chercher le garçon de Dorothée Sebbagh, Les Tuche d'Olivier Baroux, Parenthèse de Bernard Tanguy, No Limit produit par Luc Besson. On le retrouve aussi dans La mouette, Trois sœurs et La cerisaie d'Anton Tchekhov mis en scène par Christian Benedetti.
« Une chaise et un chapeau comme unique décors, Stan entre en scène en dansant sur un air de Michael Jackson pour emmener le public dans ses propres univers. Au gré du spectacle, l’artiste aux multiples talents joue admirablement avec les mots et les personnages qu’il incarne. De la Joconde à la Vénus de Milo, de « l’homme enceint » au rappeur gentil, il met l’humour de manière subtile au service de la poésie de Rimbaud ou d’Edmond Rostand, avec une interprétation rappelant celle de Raymond Devos et la verve de Fabrice Luchini... Stan danse et fait danser les mots... L’expression corporelle tient d’ailleurs une place importante dans son spectacle... La poésie dansée qu’il offre sur scène en est, aux dire des spectateurs, la plus belle des preuves. » Isabelle Antoine Rey, La Provence
Stan imite des personnes qu’il a côtoyé durant ses expériences professionnelles, se sent proche des objets, des œuvres d’arts, des mots et imagine avec beaucoup d’humour et de poésie leur pensée. Un bel hommage à « son » théâtre !
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Stan imite des personnes qu’il a côtoyé durant ses expériences professionnelles, se sent proche des objets, des œuvres d’arts, des mots et imagine avec beaucoup d’humour et de poésie leur pensée. Un bel hommage à « son » théâtre !
Péniche, sur berges face au 3 Quai Montebello 75005 Paris