Jean-Claude Tergal, l'homme à la doudoune, déboule sur la scène du fameux café-théâtre parisien "Le Point-Virgule". En une heure, le séducteur à qui rien ne résiste sauf les femmes, le Titanic du transport amoureux, nous montre comment réussir sa misère sexuelle dans la joie. Avec un téléphone (même pas portable), un répondeur obtus, une montre parlante, une poignée de dix confettis et une femme (absente), il réveille le perdant qui est en nous et prouve qu'à condition de ne pas désespérer, l'échec est à la portée de tous ! Après une carrière déjà bien remplie dans la bande dessinée (le tome 7 de Jean-Claude Tergal vient de paraître chez "Fluide Glacial"), et trois années de travail théâtral dans l'ombre, Tronchet tente le pari de la scène, et propose une version (forcément officielle !) de son personnage, devenu l'archétype du loser magnifique.
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