Une comédie en travaux
Les personnages
Note de l'auteur
Note de mise en scène
Extraits
Philippe est un homme comblé ! Dans quinze jours, il épouse Corinne, la femme de sa vie. Mais, avant le jour J, Philippe a fort à faire : il doit restaurer la maison qu’il vient d’acheter dans le Lot et dont il veut faire la surprise à Corinne. Heureusement, il a invité ses amis à venir lui prêter main forte. « A peine deux ou trois coups de pinceaux », selon lui.
Le jour du rassemblement arrive enfin. Pas de chance ! Dix personnes sur les quinze prévues ont un empêchement ! Tout se complique. Mais pas de panique, les meilleurs restent ! Philippe est donc secondé par Caroline, l’amie d’enfance et de toujours, Alexandra, sa future belle-sœur un peu… spéciale, Christophe, son meilleur ami, et Nathalie, la femme de celui-ci, rencontrée il y a un mois sur internet. Tout ne va pas si mal. Et tout est possible pour qui s’en donne les moyens. Tout est possible… quand tout le monde est vraiment là pour travailler !
Peut-être que Gunther, cet étrange ornithologue allemand qui est venu les rejoindre, va sauver la mise à Philippe ? Ou va-t-il, au contraire, lui mettre des bâtons dans les roues ?
Ils ont tous environ vingt-cinq ans.
Philippe, le futur marié : c’est un garçon qui sait ce qu’il veut… et qui se donne les moyens d’y parvenir ! Il a besoin d’un coup de main pour retaper sa future maison : pas de problème les copains sont là ! Jeune commercial parisien, il est cool, bien dans sa peau, sur le point d’épouser une fille brillante : il est le genre de garçon à qui tout réussit. Le monde lui appartient !
Caroline, l’amie d’enfance : jeune femme gracieuse, jolie, dynamique ; elle est l’éternelle amoureuse… et l’éternelle célibataire ! Depuis des années, elle s’évertue à garder son secret : elle aime Philippe. Elle en est folle. Et puisqu’une chance lui est offerte de le conquérir enfin, elle est bien décidée à la saisir : cette fois, elle va jouer le tout pour le tout !
Alexandra, la future belle-sœur : maniaco-dépressive, plus maniaque que dépressive, et quelque peu parano. Cette jeune taxidermiste a un goût prononcé pour le glauque, le morbide et le bizarre. D’une nature plutôt cynique et misanthrope, rien ne la prédispose à ce séjour champêtre dans le Lot : les bricoleurs du dimanche et les pâquerettes, très peu pour elle ! Elle ne doit ses vacances forcées qu’au Dr Schwarz, son psychiatre.
Christophe, le meilleur ami : garçon sympa, sans problème, sans histoire… jusqu’au mois dernier en tous cas. Depuis qu’il a rencontré Nathalie sur internet, les choses se sont pour le moins précipitées : après quinze jours de chat non-stop… ils ont décidé de se marier ! Depuis, Christophe va de surprise en surprise.
Nathalie, la « pièce rapportée » : nouvellement mariée à son Cricri, rien ne pourrait faire vaciller ses certitudes quant à leur couple. Elle l’adore. C’est dingue ! Pour lui, rien n’est trop bon : cuisine bio, légumes bouillis, zen attitude… de quoi rendre jaloux tous ces amis. Pourquoi ne pas leur en faire profiter d’ailleurs !
Gunther, le « Fremder » : ornithologue allemand venu spécialement dans le Lot pour étudier un nid de Znutch, une espèce d’oiseaux en voie de disparition. Ses irremplaçables sandales Birkenstock le mènent immanquablement à la maison de Philippe. Il doit alors faire comprendre à Philippe et ses « apprentis bricoleurs » qu’il est impossible qu’ils effectuent les moindres travaux dans la maison : cela risquerait de mettre en danger les Znutch ! Quoi qu’il lui en coûte, Gunther s’est juré de tout faire pour les protéger. Et il ira jusqu’au bout !
Un vrai nid d’amour, une comédie générationnelle ?
Nourris d’éléments aussi hétéroclites que le Splendid, Friends, Bridget Jones ou la jeune comédie théâtrale contemporaine, nous, les trois co-auteurs d’un vrai nid d’amour, avons un beau jour décidé d’écrire à notre tour une comédie. Notre note d’auteur aurait pu ne pas excéder deux lignes : un vrai nid d’amour, une comédie délirante (parfois !) qui parle des couples (ou du non-couple), des amis (et des disputes), des urbains (à la campagne !).
Ce n’est qu’après avoir tracé le mot « fin » sur le papier que nous avons compris que nous avions mis dans notre pièce bien plus que nous ne l’imaginions. Plus de nous d’abord. A travers nos personnages, ce sont nos illusions et nos désillusions, nos envies et nos angoisses, nos espoirs et nos révoltes qui se sont exprimés. Nous nous sommes aperçus que malgré une écriture à six mains, une réelle homogénéité existait. Venant d’horizons différents, une chose nous était au moins commune : notre âge. L’idée nous est venue que c’est peut-être toute une classe d’âge qui s’exprime par le biais de nos protagonistes. Et oui ! Si le cinéma et le théâtre se sont emparés ces dernières années de la « crise de la trentaine » (faut-il se marier, avoir des enfants, quand, pourquoi, avec qui etc.), personne n’avait encore songé à parler de nous qui sommes à cet âge incertain de la vingtaine.
Avoir 20 ou 25 ans, c’est vivre dans cet âge flou où tout est encore possible mais où il faut désormais faire des choix, les assumer, en apprenant à se connaître, à se construire, à se définir. C’est choisir ses amis, ses amours, son métier, son pays, sa vie, quoi ! 1000 portes entrouvertes et devoir finalement n’en pousser qu’une.
Nos personnages sont là, à ce carrefour. Certains ont fait des choix, d’autres, dominés par la peur de poser la première pierre, n’osent pas se lancer encore. La peur domine. Pour tous les enfants issus de cette génération, construire ne suffit plus, désormais il faut réussir. Et réussir partout !
Un vrai nid d’amour, une pièce résolument contemporaine.
Aujourd’hui, pourtant, les jeunes actifs sont plus attentifs à leur mode de vie, à leur bien-être. Ils ne veulent plus seulement « réussir », comme la génération de leurs parents ou comme la Société voudrait le leur imposer ; ils veulent donner un sens à leur existence, apporter l’harmonie dans leur couple et leur famille. Cette quête effrénée de Sens et de Bonheur s’illustre, hélas, bien souvent de tentatives absurdes et pathétiques.
Quand nous avons commencé à écrire un vrai nid d’amour, nous sommes tout d’abord partis d’un constat simple : de plus en plus de citadins partent vivre à la campagne ou cherchent, au moins, à y trouver une résidence secondaire dans le but de se ressourcer, d’échapper au stress de la vie urbaine. A cet égard, le Lot apparaît tel un El Dorado pour les habitants de la ville en mal de verdure !
De même, on voit des couples se construire sur des valeurs et des modèles superficiels et fragiles. Dans Un vrai nid d’amour, d’ailleurs, le couple n’est pas épargné. Mais il ne s’agit pas pour nous d’écrire une pièce « anti-couple », plutôt de mettre l’accent sur une dérive insidieuse, malheureusement de plus en plus marquée, vers un individualisme forcené qui rend chacun à tel point « autosuffisant » qu’il est incapable de s’associer à quiconque. Quelque soit la sphère, l’ego prend désormais tellement de place qu’il n’en existe plus pour un éventuel « alter ego » !
Notre monde est plein de paradoxes. Notre époque centrée sur la communication nous isole plus qu’aucune autre ne l’a jamais fait. La compétition est omniprésente. Il faut lutter. Contre tout, à tout instant, avec tout le monde : famille, amis, collègues. C’est une course à bâtons rompus. Par la comédie et un rythme soutenu, nous avons humblement tenté de mettre en évidence ces problèmes, en privilégiant toujours l’humour, l’ironie, la légèreté et l’énergie.
Malgré notre vision angoissée du monde, nous sommes fondamentalement des optimistes. Et même si nous ne sommes pas tendres avec nos personnages, nous ne les malmenons que parce que nous pensons pouvoir attendre mieux de chacun. Et finalement tous évoluent durant les quatre courtes journées que dure la pièce. Certains rejettent les poids et les inhibitions imposés par la société, d’autres luttent contre leur peur irrationnelle de la vie et ceux qui vivaient dans la mauvaise foi sont enfin confrontés à leur propre réalité. Lorsqu’ arrive le noir final, nous constatons, amusés et attendris, que nos personnages ont, tant bien que mal, appris à grandir et à assumer leur vie d’adultes.
Sur des sentiers moins battus…
En montant ce spectacle et notre compagnie Les Echafaudeurs, nous n’avions pas seulement en tête de créer une comédie de mœurs. Nous voulions aller avant tout vers plus de liberté, nous émanciper de certaines règles théâtrales. Nous avons souhaité esquisser un certain décalage, une certaine loufoquerie. Ce côté absurde et délirant, cette volonté de ne pas toujours être logiques, cohérents, crédibles même, nous tient à cœur. Le théâtre ne s’adresse pas à l’intelligence du spectateur, ni seulement à sa compréhension, mais à sa suggestibilité, à sa subjectivité.
Dans Un vrai nid d’amour, c’est le personnage de Gunther, un ornithologue monomaniaque, Allemand et ne parlant que sa langue maternelle, qui nous permet de nous échapper quelque peu de la comédie de boulevard traditionnelle et d’emmener l’action et nos personnages vers plus de folie. Pas à pas, nous voulons prendre le public par la main et le conduire, le temps d’une aventure commune, vers des sentiers moins battus.
Auteurs et futurs metteurs en scène d’Un vrai nid d’amour, nous avons été, dès les prémices de notre création, confrontés aux interrogations nées de cette double activité. Conscients, d’une part, des contraintes de rythme qu’impose la comédie et désireux, d’autre part, de dépasser la simple représentation réaliste d’une histoire contemporaine, en confrontant notre créativité théâtrale au propos sociologique, c’est dès la genèse du projet que sont apparues les questions de mise en scène liées à ces problématiques.
Le rythme : un numéro d’équilibriste dans la comédie.
Veillant dans l’écriture à maintenir ce rythme vital pour la comédie, il nous fallait, en tant que metteurs en scène, donner un souffle continu à la vivacité de notre histoire. Jouer Un vrai nid d’amour , selon nous, c’est un peu courir un marathon : il s’agit d’être toujours dans la bonne énergie, mais de la doser pour tenir jusqu’au bout ! Et tenir jusqu’au bout ensemble.
C’est sur cet « ensemble » que nous avons mis l’accent, considérant l’écoute comme notre meilleur atout pour parvenir à faire circuler l’énergie entre nous et la transmettre, ainsi, densifiée au public.
L’écoute revêt, dans notre création, un caractère particulier, notre travail se fondant sur la recherche collective. Une telle méthode s’imposait d’elle-même : étant trois auteurs, nous ne pouvions concevoir la mise en scène qu’à trois, cela d’autant plus qu’elle s’esquissait déjà durant l’écriture de la pièce. Evidemment, notre création s’est enrichie de cette collaboration ; trois personnes, c’est trois regards différents, trois créativités à l’épreuve, trois fois plus d’énergie, de pistes à explorer et, surtout, une écoute essentielle pour synthétiser les idées en une mise en scène cohérente et unifiée. Cette fameuse écoute née dans notre troupe permet une réelle autonomie de chaque comédien, autonomie d’autant plus nécessaire que de nombreuses scènes de la pièce confronte l’ensemble des personnages. Pour ces scènes, nous avons parfois eu recours à la caméra ou à des avis professionnels extérieurs à la compagnie.
S’il est possible de soutenir un rythme enlevé, tant pour les comédiens que pour le public, c’est à condition de laisser des moments de pause, de respiration. Certains apparaissent dès la lecture, dans des scènes intimistes ou sans conflits ouverts, scènes que nous avons voulues plus statiques dans le jeu. Mais c’est surtout grâce à nos parodies de chorégraphies que nous créons de vraies ruptures de rythme. Durant quelques minutes, la musique prend le pas sur les mots, invitant le spectateur à abandonner la compréhension intellectuelle de l’histoire. La musique, d’ailleurs, a pris une place importante dans la pièce, grâce au talent de Fabrice Camboulive qui a su retranscrire en morceaux inclassables (le style Beach Boys de l’an 2000 selon nous) l’énergie et l’esprit loufoque de notre création. Elle soutient réellement notre propos et densifie notre atmosphère. L’histoire et le temps se trouvent soudain suspendus : la rupture est complète. Les chorégraphies que nous avons créées sont également là pour rompre l’illusion et rappeler au spectateur qu’il est au théâtre et que, selon nous, tous les moyens sont bons pour raconter une histoire, y compris (et surtout !) les plus irrationnels.
Au-delà de la reproduction simpliste du quotidien.
Un vrai nid d’amour est, comme nous l’avons dit, une comédie légère et contemporaine, ancrée dans les réalités de notre époque ; nous avons donc opté pour un jeu réaliste, une recherche de sincérité pour chaque personnage, ceci tant dans les mots que dans les actions scéniques. Mais il nous tenait véritablement à cœur de nous autoriser à grossir le trait, à déborder des cadres du rationnel et du commun, à profiter de la scène pour un peu de délire. Nos chorégraphies illustrent parfaitement cette volonté.
Mais pas question pour nous de nous amuser tous seuls ! Il nous fallait emmener le public dans notre histoire, aussi fantasque soit-elle. De là est née l’idée de placer la maison, objet de l’histoire, derrière lui. Cette décision a précédé toutes les autres ; elle a évidemment déterminé l’écriture, mais relève également de la mise en scène. Déplacer le fameux « quatrième mur » nous permet de diriger le point focal des personnages vers le public, impliquant un jeu frontal avec ce dernier. Ainsi, les protagonistes sont en relation constante avec le public, témoin privilégié de tous leurs états d’âme. L’éclatement de l’espace scénique élargit leur univers à la salle, dans laquelle les comédiens font d’ailleurs quelques incursions, accentuant l’interaction personnages/public. Celui-ci est inclus dans le lieu même de l’histoire et transformé en troupeau de vaches oisives, rejoignant l’esprit de notre comédie, résolument burlesque.
Dès le levé de rideau, nous affichons une volonté de dérision à travers notre décor. Les étiquettes, accompagnées d’éléments réduits à la plus simple représentation de leurs signifiés, nous rappellent un peu les légendes des cartes de géographie que nous réalisions à l’école. Il s’agissait de signifier une vision symbolique, et souvent simpliste, de la campagne pour les urbains, matérialisant de manière élémentaire leurs clichés de représentations du monde rural. Autant d’éléments rappelant, tout au long de la pièce, aux acteurs comme au public, que l’on ne doit pas se prendre au sérieux. Notre univers est constitué de repères réalistes mais nous avons ardemment recherché le « décalage ».
En créant Un vrai nid d’amour, nous nous sommes demandés comment raconter le quotidien sans tomber dans la platitude, le déjà-vu, les clichés. Comment parler de nous et de tout le monde en évitant la trop simple représentation de ce qui nous entoure ? Délirer, dévier du normal, déraper parfois… sans perdre notre public ! Nous n’avons pas cherché à représenter la vie au théâtre, mais plutôt le côté théâtral de la vie, et nous l’avons élargi.
Nathalie : Un vrai nid d’amour Bâtir un vrai nid d’amour ! Moi, je trouve ça tout simplement génial. […] Quelle bonne idée ! J’adore ce garçon! J’adore son idée ! C’est dingue, dingue, dingue ! […]
***
Philippe : C’est comme ça qu’il faut être : so-li-dai-res. On devait être quinze, mais, finalement, heureusement que nous ne sommes pas quinze ! Maintenant, c’est un défi qui s’offre à nous. Je ne sais pas si vous vous rendez compte de l’expérience humaine qu’on peut vivre ici. […] Bon. Ok. C’est pas gagné. Mais, attendez, on est quand même là en vacances. Et puis…on forme une équipe soudée. On forme une équipe soudée, non ? […]
***
Philippe (au téléphone) : Oui mon amour… Oui mon amour… Oui mon amour… Oui… Ouh la la, ça avance, mon amour, tu devrais voir ça ! Christophe et Nathalie ! Mais ce sont des maçons nés ces gens-là ! […] Il faut que je te laisse maintenant… Mais c’est pour ta surprise !… Mais si je t’aime !… Oui, bon ben ça va maintenant ! (il détache le combiné de son oreille) Je… je … ca… pt …e …plus…[…]
***
Caroline : Et même en bossant vingt-trois heures sur vingt-quatre, avec de vrais outils, et de vrais pros qui s’y connaissent en rénovation, on n’aurait jamais réussi à rendre ce truc habitable ! C’est une ruine cette baraque. Tout juste bonne à être rasée !
Philippe : C’est pas une ruine ! C’est vous qui êtes des nazes même pas capables de planter un clou ! Bande de… d’intermittents du bricolage ! Profiteurs de pote naïf !
Christophe : De pote naïf ? C’est toi qui nous a eu sur toute la ligne, je t’entends encore : « Pas de souci ! Ce sera aussi des vacances ! ». Tu parles !
***
Christophe : Voilà ce que c’est que d’avoir des copains qui essaient de s’embourgeoiser en achetant à crédit des poubelles géantes dans le Lot, parce que le Lot c’est « in » !
je viens de voir ce spectacle et je suis trop d'accord pour dire que c'est clair qu'il y a de quoi inquiéter le Splendid... à moins qu'ils ne les prennet sous leurs ailes, ce qui serait cool pour ces jeunes qui ont la pêche, qui se donnent et qui mériteraient d'être mieux connus.
du rire a volonté une pièce a coup sur qui ira loin avoir et a revoir
D'accord avec vous! moi ça faisait longtemps que je ne m'étais marrée comme cela!! La salle est petite, mais le public participe et ça rend le spectacle encore plus sympa! à voir entre potes, et s'ils vous disent qu'ils n'aiment pas le thétre, poussez-les: ils vont changer d'avis!!!! Julie
Salut Jon-jon, Je suis d'accord avec toi. Des p'tits jeunes qui n'en veulent, ne méritent qu'une bonne critique. En espérant qu'ils ne feront pas trop d'ombres aux BRONZES qui tournent en ce moment... The Chicagoan
je viens de voir ce spectacle et je suis trop d'accord pour dire que c'est clair qu'il y a de quoi inquiéter le Splendid... à moins qu'ils ne les prennet sous leurs ailes, ce qui serait cool pour ces jeunes qui ont la pêche, qui se donnent et qui mériteraient d'être mieux connus.
du rire a volonté une pièce a coup sur qui ira loin avoir et a revoir
D'accord avec vous! moi ça faisait longtemps que je ne m'étais marrée comme cela!! La salle est petite, mais le public participe et ça rend le spectacle encore plus sympa! à voir entre potes, et s'ils vous disent qu'ils n'aiment pas le thétre, poussez-les: ils vont changer d'avis!!!! Julie
Salut Jon-jon, Je suis d'accord avec toi. Des p'tits jeunes qui n'en veulent, ne méritent qu'une bonne critique. En espérant qu'ils ne feront pas trop d'ombres aux BRONZES qui tournent en ce moment... The Chicagoan
Bien que la salle soit petite, le spectacle a été grand !!! Perso, j'ai beaucoup apprécié le meuhhh (je vous laisse la surprise de voir de quoi il s'agit) qui a mis une bonne ambiance dans le public... Malgré mes crampes aux lèvres (à force de rire), je garde de la pièce un bon souvenir !
15, rue du Maine 75014 Paris