Une Intérim d'enfer

Un trio infernal
Note des auteurs
Note de mise en scène
La presse

• Un trio infernal

Le bureau est en fête ! Mme Michu ne viendra pas. Ses deux collègues masculins s’apprêtent à se la couler douce... Débarque alors une intérimaire qui a tout pour les faire grimper au rideau. Au grand dam des deux « zozos », la guerre des sexes aura bien lieu ! Une pièce endiablée qui a fait un succès à Avignon et qui nous entraine au coeur d’une manipulation féminine jubilatoire.

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• Note des auteurs

Il y a longtemps qu’on avait envie d’écrire ensemble, car nous nous amusons des mêmes choses et notre désir de faire rire le public nous habite depuis nos premières expériences respectives. Une écriture collective n’est pas chose facile, mais quel bonheur quand l’alchimie se fait et que chacun apporte sa part pour construire l’oeuvre et la rendre de plus en plus efficace. En écrivant Une intérim d’enfer, nous n’avions pas d’autre objectif que de divertir les gens avec une situation dans laquelle bon nombre de spectateurs et spectatrices se reconnaîtront. En effet, cette pièce est tirée de quelques expériences vécues à l’époque où nous enchaînions encore les petits boulots.

A mi-chemin entre une pièce de boulevard et une comédie de moeurs, en passant par le café théâtre, nous avions envie d’un cocktail d’humours détonnants. Nous sommes convaincus que plusieurs gags de cette pièce donneront des idées à certains collègues de bureau et nous sommes fiers de contribuer à rendre l’univers du travail un peu plus drôle Au-delà de la satire social et professionnelle, c’est aussi l’histoire des hommes et des femmes... chabadabada... chabadabada...

Belen Lorenzo et Philippe Gruz

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• Note de mise en scène

Quelle différence y’a-t-il entre café-théâtre et théâtre ? A première vu un café ! Mais qu’y’a-t-il dans ce café ? Un arôme : l’humour. Plus corsé dans le café-théâtre mais parfois trop doux dans le théâtre. Une couleur. Puissante, souvent excessive mais généreuse dans le premier cas. Claire, sage voire transparente dans un deuxième. Dans les deux cas, cela reste une histoire de dosage.

La mise en scène peut apporter cet équilibre entre un arabica tonique et une saveur plus douce qui plaira à tous les amateurs de café et de théâtre. Une bonne mise en scène est une mise en scène qui ne se voit pas. Comme le sucre dans notre café. On sait qu’il y en a mais on ne le voit plus. Pourtant entre un café sucré et un café non sucré, il y a une sacrée différence. Après, ce n’est qu’une question de goût ! Voila ce que je pouvais dire de mon travail.

La métaphore vaut ce qu’elle vaut mais il fallait bien trouver quelque chose à mettre dans ces lignes ! Par contre, pour ceux qui n’aiment pas le thé, mieux vaut éviter ce genre !

Didier Caron

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• La presse

"Cette pièce très drôle, endiablée, pour tout public, n’est pas loin de l’excellence dans la grande tradition du théâtre populaire français." Le Dauphiné Libéré

"Les personnages sont hauts en couleur et interprétés avec brio... un véritable trio infernal qui déborde d’énergie pour le plus grand plaisir des spectateurs..." La Provence

"Mais c’est drôle, vraiment drôle parfois et même presque touchant par instant !" Figaroscope

"Si les premiers gags relèvent un peu du potache, l’intrigue qui se développe progressivement séduit le spectateur. Caricature goûteuse des travers masculins et de certaines attitudes féminines, cette pièce est valorisée par des acteurs talentueux. Belen Lorenzo particulièrement, dont l’audace de jeu illumine la scène et conquiert la salle. Moment de divertissement assuré." 20 Minutes

"Cette petite pièce de café-théâtre est vraiment drôle et parfaitement bien jouée par Olivier Bouana et les deux auteurs, qui connaissent à la perfection leur petite musique. Un moment de détente indispensable après une rude journée de bureau." Jean-Luc Jeener, Figaro Magazine, 23 mars 2006

"Il y a de l’énergie et beaucoup de plaisir dans ce spectacle enjoué. C’est de la pure comédie et le public se régale autant que les comédiens qui redoublent de pitreries et autres cabotinages pour séduire la jeune intérimaire finalement moins blonde qu’elle n’en avait l’air. « Gag, humour, bonne humeur », scandent les acteurs pour ponctuer leurs innombrables vannes. Un slogan qui colle en effet à la peau de cette pièce irrésistiblement drôle." Stéphane Demoustier, Visiomag, 30 octobre 2006

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