Les Zlot sont deux personnages follement sympathiques et drôles,qui chantent avec justesse et poésie toute l'ironie de la vie. Un brin de cynisme, des idées vraies, des textes irrésistibles,des mélodies simples et percutantes pour un spectacle coloré et une immense bouffée de bonne humeur. C'est léger comme un pachyderme dans une montgolfière.
Provocateurs mais pas vulgaires, avec eux la mer est belle mais plate ; les gens marrants sont fatigants ; les gens gentils sont des bouffons et l'altruisme n'est qu'un moyen de se donner bonne conscience dans un monde où chacun se débrouille comme il peut : nul n'est épargné par la verve mordante et corrosive de leurs textes, qui donnent souvent à réfléchir.
Les Zlot font leur première scène en juin 2003 au Point-Virgule, mais c'est au Café-Théâtre des Blancs Manteaux que commence véritablement leur histoire, où ils jouent tous les dimanches pendant 2 saisons.
Une grande aisance scénique et des textes où chacun se retrouve, leur permettent d'être aussi à l'aise sur les petites que sur les grandes scènes, telles que La Maroquinerie, le Café de la danse ou encore File 7. Parallèlement, ils continuent toujours à se produire dans de nombreux bars parisiens, à la demande d'un public fidèle.
Zlot. C'est beau. C'est poétique. C'est drôle sans le faire exprès. C'est vrai. C'est touchant. Ca donne envie d'y retourner…
« Des textes réalistes qui disent toute l'ironie de certaines situations quotidiennes. » Le Parisien
« Iconoclastes, à la verve acide, ce duo égrène une pluie de chansons frétillantes, qui pourraient sans doute se danser, s'ils nous permettaient de savoir sur quel pied ! Ils nous offrent l'espace d'un concert, de pénétrer tout sourire dans un monde où les conventions un instant en suspens laissent souffler un vent d'idées libres entre nos deux oreilles. » Portfolionel
« Zlot porte sur les lèvres un sourire narquois, un rien cynique, mais plein de charme et de légèreté finalement… » Standards
« Laurent Imessounène n'est pas un gratteux à deux balles, mais un excellent guitariste qui domine ses partitions sans souci, même s'il prend parfois des airs de demeuré et Virginie Coze tient la rythmique avec brio, qu'il s'agisse de sacs plastiques, de râpe ménagère ou de valise. Une heure de spectacle complet, pour asséner sous couvert de pantomime acidulée et rigolote, des brûlots caustiques qui voisinent davantage avec le punk qu'avec Edith Piaf. » Froggydelight
77, rue de Charonne 75011 Paris