Première partie d'Arno, de Paris Combo, de Vincent Delerm, révélation des Francofolies de la Rochelle 2006 et après un album signé chez Europa Corp, Zoé présente son nouveau spectacle, seule au piano ou presque.
Un spectacle aux sources variées : subtil mélange d’humour et de gravité. Une plongée dans un univers qui se situe quelque part entre Nina Hagen, Bobby Mac Ferrin et Charlie Winston…
Pour la première fois de ma « carrière » j’ai le sentiment de créer un spectacle en tirant parti de mes connaissances pianistiques acquises lors de mon enfance, de ma théâtralité étudiée durant mon adolescence et surtout de mes innombrables erreurs de jeune adulte... M’est venue, donc, l’idée de reprendre mes gammes, mon courage à deux mains et d’aller m’exécuter seule en scène...
Toujours fervente de rires et de larmes à la fois, j’ai repris des sujets de trentenaire, de femme, de maman, de belge (faut dire, y’a matière), de dépressive, d’hystérique... Tout ça avec un peu de recul obligatoire en revenant au plat pays... Et oui, après Paris, Besson, Drucker, le fric, l’excès, les prises de tête, les certitudes, l’indifférence, le mépris, l’innocence mais aussi la magie, les étoiles, le rose bonbon et le tout va bien, ma vie a fait place au doute...
Le doute fera de ce spectacle un seule en scène plus authentique, plus personnel, peut-être moins drôle mais plus musical, plus calme (enfin ça reste à prouver) en tout cas, un spectacle sincère... Enfin quoi qu’il en soit mon intention, puisqu’il s’agit là de « note d’intention », est de faire le mieux possible, logique, non ? À vous de voir...
Zoé
" Un concert plein de fraîcheur... absolument charmant. " François Delétraz, Le Figaro magazine
3, rue des Déchargeurs 75001 Paris