Anne-Laure Tondu a suivi la formation du Théâtre National de Strasbourg, section jeu, promotion 2005.
Elle intègre ensuite la troupe du TNS durant la saison 2005-2006 et crée deux spectacles sous la direction de Stéphane Braunschweig : Vêtir ceux qui sont nus de Pirandello (TNS, Théâtre de Gennevilliers et tournée) et L’Enfant rêve de Hanok Levin (TNS, Théâtre National de la Colline, La Filature de Mulhouse).
Puis elle joue dans Pièce africaine de et m.e.s. par Catherine Anne (Théâtre de l’Est Parisien), dans Barthes le questionneur d’après Roland Barthes m.e.s. par Nicolas Bigards (MC 93 Bobigny), dans Filumena Marturano d’Eduardo de Fillipo m.e.s. par Gloria Paris (tournée en France, à Rome et à Naples).
Elle fait partie de la compagnie Lalasonge, fondée avec d’autres comédiens de sa promotion et crée un cabaret autour de Dario Fo qui se joue dans plusieurs lieux à Paris, en province et à l’étranger (Festival Thé-Art de Rabat, Maison du comédien Casarès, Festival de Cluny…) ainsi qu’un spectacle de clown Pâte à clowns, pâte à clones.
En 2009, elle joue dans C'est pas pour me vanter d'Eugène Labiche m.e.s. par Gloria Paris. En 2010, elle est à l'affiche de La ballade de Simone de Simone de Beauvoir m.e.s. par Nadine Darmon et de Lulu - une tragédie-monstre de Frank Wedekind m.e.s. par Stéphane Braunschweig.
Parralèlement à son métier de comédienne, elle pratique le chant, ce qui l’a ammené à jouer dans Les Sacrifiées, opéra de Thierry Pécou sur un livret de Laurent Gaudé, m.e.s. par Christian Gangneron (Maison de la Musique de Nanterre, Opéra de Reims, Opéra de Rouen…)
Cet(te) artiste n'est pas lié(e) en ce moment à un spectacle.
Théâtre Jacques Carat à Cachan, Cachan
Le 16 avril 1987, Francis Bouygues, géant du BTP, acquiert 50 % du capital de TF1 pour trois milliards de francs. Dans cette privatisation d’une grande chaîne du service public au nom d’un supposé « mieux-disant culturel », Thomas Quillardet voit l’avènement d’une nouvelle ère où les lignes idéologiques entre droite et gauche commencent à se brouiller.
Théâtre de Saint-Quentin-en-Yvelines, Montigny-le-Bretonneux
Le 16 avril 1987, Francis Bouygues, géant du BTP, acquiert 50 % du capital de TF1 pour trois milliards de francs. Dans cette privatisation d’une grande chaîne du service public au nom d’un supposé « mieux-disant culturel », Thomas Quillardet voit l’avènement d’une nouvelle ère où les lignes idéologiques entre droite et gauche commencent à se brouiller.
Théâtre Jean Arp, Clamart
L’essence de la tragédie est déjà là : il va mourir, à la fin, nous le savons. Mais l’important n’est-il pas de savoir comment et pourquoi ?
Théâtre des Abbesses, Paris
Le 16 avril 1987, Francis Bouygues, géant du BTP, acquiert 50 % du capital de TF1 pour trois milliards de francs. Dans cette privatisation d’une grande chaîne du service public au nom d’un supposé « mieux-disant culturel », Thomas Quillardet voit l’avènement d’une nouvelle ère où les lignes idéologiques entre droite et gauche commencent à se brouiller.
Cartoucherie - Théâtre de la Tempête, Paris
Aimer, attendre, s’élancer… Le désir, inépuisable sujet, appelle toujours à l’action. C’est ainsi que Thomas Quillardet a choisi de monter en diptyque Les Nuits de la pleine lune et Le Rayon vert d'Éric Rohmer.
Cartoucherie - Théâtre de la Tempête, Paris
Pour La Tempête, un autre scénario de Rohmer sera également présenté, L’Arbre, le maire et la médiathèque. Une création hors cadre imaginée par Thomas Quillardet.
Théâtre de l'Odéon - Ateliers Berthier, Paris
Théâtre Antoine Watteau, Nogent-sur-Marne
Aimer, attendre, s’élancer… Le désir, inépuisable sujet, appelle toujours à l’action. C’est ainsi que Thomas Quillardet a choisi de monter en diptyque Les Nuits de la pleine lune et Le Rayon vert d'Éric Rohmer.
Théâtre Jean Arp, Clamart
Aimer, attendre, s’élancer… Le désir, inépuisable sujet, appelle toujours à l’action. C’est ainsi que Thomas Quillardet a choisi de monter en diptyque Les Nuits de la pleine lune et Le Rayon vert d'Éric Rohmer.
Théâtre de la Bastille, Paris
Aimer, attendre, s’élancer… Le désir, inépuisable sujet, appelle toujours à l’action. C’est ainsi que Thomas Quillardet a choisi de monter en diptyque Les Nuits de la pleine lune et Le Rayon vert d'Éric Rohmer.