Benoît Lavoisier
Benoît Lavoisier
Formé auprès de T. Spychalki (assistant de Grotowski), à l’Ecole du Passage de N. Arestrup, C. Bozo, A. Fortuzzi, puis plus récemment auprès M. Zammit (pour le répertoire classique) et de A. Vassiliev, il navigue entre Paris et Montréal. Il a joué des textes de Dostoïevski, Céline, Camus, Ghelderode et récemment une nouvelle version de “Van Gogh”.
Cet(te) artiste n'est pas lié(e) en ce moment à un spectacle.
De 1999 à hier - Benoît Lavoisier
Point-Virgule, Paris
du 24 sept. 2023 au 21 juil. 2024
1h10
- De : Molière
- Mise en scène : Gilles Hoyer
- Avec : Benoît Lavoisier, Quentin Zommer, Marie Benati, Déborah Chantob, Gilles Gangloff, Cécile Caubet, Bruno Bastian, Guillaume Villiers-Moriamé, Gilles Hoyer, Fethi Maayoufi
Que diable allait-il faire dans cette galère ? » Vous le découvrirez en venant voir les fourberies du rusé Scapin ! À partir de 6 ans.
Reine Blanche, Paris
du 21 janv. au 26 févr. 2010
60 minutes
- De : Michel de Ghelderode
- Mise en scène : Simon Pitaqaj
- Avec : Benoît Lavoisier, Ambre Gollut, Yan-Yvon Pennec, Palina Kotsiashava
Don Juan! Ou plutôt des personnes qui cherchent à s’identifier au mythe de Don Juan, pour en vivre la légende. A Babylone, lieu de l’idolâtrie et du plaisir charnel, les cœurs s’étourdissent au plaisir par des jeux de masques et d’intrigues, s’amusant avec l’image de la beauté.
Le Bout, Paris
du 17 avr. au 5 juin 2009
1 heure
- De : Odile Roig, Jean-Luc Borras
- Mise en scène : Benoît Lavoisier
- Avec : Odile Roig
Burlesque et décalé, le show d’Odile est un petit bijou. Des personnages pris en flagrant délit de solitude basculent dans des délires cocasses et poétiques. Ces rêves
sont pleins de guerriers Massaï, de poule qui parle, de fantasme
absurde et drôle à s'en faire vriller la panse…
Art Studio Théâtre, Paris
du 2 avr. au 22 mai 2002
- De : Dermot Bolger
- Mise en scène : Kazem Shahryari
- Avec : Natalia Cellier, Dominique Chagnaud, Emmanuel de Sablet, Benoît Lavoisier, Marion Losset, Jacques Roehrich, Paul Soka, Barzan Yassin
A la fois réaliste et cauchemardesque, mystique et hétérodoxe, foisonnante et baroque, cette pièce apparaît comme un thrillermoral où Jérôme, une sorte de « golden boy », bascule à son corps défendant dans un personnage en totale recherche de dénuement et d’authenticité.
