Le bal, façon Papanosh, c'est une grande transe où l'on retrouve les ingrédients qui font la marque de fabrique du quintet : mélodies lyriques venues des quatre coins du monde, énergie et grooves euphorisants. Ce grand Bal d'hiver sera l'occasion d'entremêler les voix et les accents d'une galerie exceptionnelle d'invité.e.s. De quoi réchauffer les cœurs jusqu'au printemps !

Bernard Lubat soli solo saga. Deux heures d’improvisions d’humour d’humeur d’humanité d’humidité.

Bernard Lubat, Fabrice Vieira et les jeunesses uzestiennes : Jules Rousseau (guitare basse), Thomas Boudé (guitare), Louis Lubat (batterie). Ils parlent de ce qu’ils jouent, de ce qui les joue, ils jouent ce dont ils parlent. Des musiciens qui jouent à parler ? Ça va pas la tête !

Qui Vieira verra de Fabrice Vieira suivi de Michel Portal, Lubat and Lubat (Bernard et Louis).

Compagnons d’épopée en St Germain des Prés, le sourire en colère de deux citoyens improvisés, swing slam scat, blues blancs rouges, de peau et d’amitié. Une histoire de liberté égalité fraternité laïcité.

Soirée partagée où les surprises musicales seront au rendez-vous, grâce au trio de Vijay Iyer et au duo Portal et Lubat. Les premiers mèlent jazz colemanien et raga indien, tandis que les seconds conversent en improvisation, leur langue commune et parfaitement maîtrisée. Dans le cadre du festval Banlieues Bleues 2011.

Au piano, à la batterie, à l’accordéon ou encore à la tambouille, et au vu des récents événements, ce fou du solo allumé aura bien des avis à nous faire partager. Un spectacle intitulé “ Vive l’Amusique ! ” pouvant rimer avec un décalé-décapant “ Vive l’Amérique !

Attention ! Grosse pointure ! Bernard Lubat, véritable marathonien du spectacle, vient jouer seul à l’accordéon, piano et guitare sur la scène. La soirée promet d’être corsée, même puissante