Céline Cohen

Céline Cohen

Formée au conservatoire d’Art dramatique de Toulouse, elle est co-directrice depuis 2011 du Groupe Ex-abrupto, dont elle fait partie depuis 1997.

Elle est adaptatrice, metteur en scène, comédienne, et musicienne.

En 2011 elle est co-metteur en scène de Cyrano, en collaboration avec Didier Carette et Marie-Christine Colomb, au théâtre Sorano, Toulouse.

De 1997 à 2010, elle est coadaptatrice et assistante à la mise en scène auprès de Didier Carette.

Elle compose musiques de scène et chansons de plusieurs spectacles et lectures spectacles.

Comédienne et musicienne, elle joue dans la plupart des créations du groupe Ex-abrupto.

Elle collabore également à deux créations de la Compagnie Créature (C’est la Lune qui me l’a dit, Les Cultivateurs de Rêves).

Elle met en scène Soledad pour la compagnie les Clochards Célestes, théâtre et marionnettes.

Formatrice, elle intervient au sein de différentes structures d’enseignement de l’art dramatique.

Cet(te) artiste n'est pas lié(e) en ce moment à un spectacle.

De 1999 à hier - Céline Cohen

Nana

Lucernaire, Paris

du 25 sept. au 17 nov. 2013
1h15
CLASSIQUE Coup de cœur Terminé
  • De : Emile Zola
  • Mise en scène : Céline Cohen, Régis Goudot
  • Avec : Céline Cohen, Régis Goudot
Cette relecture pleine d'énergie et d'émotion de l'oeuvre de Zola séduit par l'intelligence de sa transposition. L'ensemble se suit avec plaisir et constitue une parfaite initiation pour ceux qui n'ont jamais lu ce petit bijou d'écriture. Une adaptation remarquable, portée par Céline Cohen et Régis Goudot, épatants.
Satyricon

Cartoucherie - Théâtre de la Tempête, Paris

du 20 avr. au 23 mai 2004
CLASSIQUE Terminé
  • De : Pérone
  • Mise en scène : Didier Carette
  • Avec : Céline Cohen, Anne Pintureau, Evguéniy Djurov, Georges Gaillard, Régis Goudot, Olivier Jeannelle, Laurent Perez
Sur le point de dire adieu à leur existence, Encolpe, Ascylte, Giton se fuient constamment sans jamais trouver ni repos, ni félicité, éblouis qu’ils sont encore par les couleurs de la vie et de l’amour. Prisonniers d’une zone intermédiaire entre la vie et la mort, la mémoire et l’oubli, le funèbre et l’onirique, les personnages semblent jaillir de temps immémoriaux.